mardi 30 novembre 2010

TuniLeaks, les documents dévoilés par Wikileaks concernant la Tunisie part 3

TuniLeaks, les documents dévoilés par Wikileaks concernant la Tunisie part 3
Mise à jour biographique sur l'EL Matri, interlocuteur réconfortant de Sakher,
soulevant son profil en-tête VZCZCXYZ0000 pp RUEHWEB d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 04:35 de 09TUNIS338 Date03/06/2009 DE RUEHTU #0338 1541635 ZNY SSSSS ZZH P 031635Z le 9 juin FM AMEMBASSY TUNIS au contenu COLLECTIF S LA COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000338 PRIORITAIRE de l'information RUCNMGH/MAGHREB PRIORITAIRE 6339 de Washington D C de RUEHC/SECSTATE NOFORN SIPDIS NEA/MAG POUR (MHAYES, JPATTERSON) ET INR (TKING) E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 06/02/2019 d'ÉTIQUETTES : PINR, GESTION DES DÉBORDEMENT DE PAGE, PREL, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : MISE À JOUR BIOGRAPHIQUE SUR SAKHR EL-MATRI, INTERLOCUTEUR RÉCONFORTANT, SOULEVANT SON PROFIL Référence : A. TUNIS 108 B. 08 TUNIS 97689 Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)

1. (S/NF) Le Président Ben Ali' d'EL-Matri de Sakhr ; le fils de s a assisté à une réception accueillie par l'Ambassadeur le 26 mai. Il est resté pendant deux heures parlant avec une large variété des invités, particulièrement les Américains. Il a fait une remarque de demander qui il devrait savoir et rester en contact avec à l'ambassade. Il était un peu plus réservé avec les invités tunisiens, parlant avec eux mais seulement brièvement avant de passer. Son anglais était tout à fait bon et il a clairement eu plaisir à l'employer. Généralement il s'est présenté d'une façon modeste discrète et réconfortante quoique sa présence ait été clairement marquée par les invités.

2. (c) El-Matri' ; le profil de s a été sur l'élévation récemment. Il était sur la couverture du 25 mai Jeune Afrique après l'achat de la maison d'édition de Dar Assabah, qui édite deux de Tunisia' ; journaux principaux Assabah et Le Temps de s, de ce fait s'ajoutant à son empire de médias qui inclut déjà la radio de Quranic Zeitouna. Il s'est assis directement derrière le Président Ben Ali pendant l'allumette de football finale de la tasse présidentielle, et il était présent où le ministre d'État et le conseiller présidentiel Ben Dhia ont parlé à une réunion du rassemblement constitutionnel Democratic d'acte (RCD) dans Sousse le 26 avril au sujet de government' ; plans de s pour les élections présidentielles prochaines.

3. (SBU) Pendant la réception l'EL-Matri a discuté ses plans pour Assabah et Le Temps disant qu'il avait loué une société française pour améliorer le regard des papiers et cela il avait loué Faisal Battout, le chef de bureau d'AFP dans Doha, pour être le nouveau rédacteur d'Assabah. Il devrait arriver à Tunis autour du 15 juin. (Commentaire : Si on permet à Battout, qui est bien connu à la PA, de fonctionner indépendamment c'est un bon signe pour les journaux.) Il a également mentionné, dans le cadre de discuter le programme d'AMIDEAST, qu'il avait parlé au président au sujet de l'importance de l'instruction d'anglais.

4(c) Sur une note personnelle : EL-Matri a indiqué qu'il a aimé s'exercer mais ne pas courir. Il a dit qu'il essayait de perdre le poids, et il a bu le coke de régime à la réception. Il a également dit qu'il commençait un nouveau régime d'exercice et utilisé que comme raison pour laquelle il avait cessé de fumer une conduite d'eau. Il est sorti de sa manière de demander si son nouveau manoir en construction à côté de la résidence bloquait la vue de mer d'un quelconque de ses voisins. EL-Matri a visité le Canada en mai l'où son épouse a donné naissance à une fille et à un nouveau citoyen canadien. Il a également acheté une villa au belvédère de 70 endroits, Westmont Canada, Mme de propriétaire précédent Leslie Osmond pour approximativement 2.5 millions de dollars canadiens.

5. (S/NF) Commentaire : En acceptant l'Ambassador' ; l'invitation de s et en restant tant que il a fait EL-Matri montrait son intérêt en augmentant ses contacts avec l'ambassade. Notamment EL-Matri également a invité l'ambassadeur dehors à déjeuner ou le dîner, que l'ambassadeur a acceptés. L'ambassade a prolongé l'invitation à EL-Matri de Sakhr dans le cadre d'un événement visé à l'Ambassador' ; voisins de s dans Sidi Bou dit et avec l'intention à finir par le connaître mieux. Godec

Obtenu demande à des Européens de ne pas prendre aux détenus tunisiens de Guantanamo le 27 novembre 2010 en-tête VZCZCXYZ0000 OO RUEHWEB d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 03:49 de 09TUNIS415 Date23/06/2009 DE RUEHTU #0415/01 1741549 ZNY SSSSS ZZH O 231549Z le 9 juin FM AMEMBASSY TUNIS VERS WASHINGTON D C 6474 RUEAWJA/DEPARTMENT IMMÉDIATS de RUEHC/SECSTATE De l'INFORMATION IMMÉDIATE RUCNMGH/MAGHREB RUEHRL/AMEMBASSY IMMÉDIAT COLLECTIF BERLIN 0186 RUEHMD/AMEMBASSY IMMÉDIATS MADRID 0546 RUEHRO/AMEMBASSY IMMÉDIATS ROME 0804 IMMÉDIATS RUEKJCS/SECDEF de JUSTICE de WASHINGTON DC IMMÉDIAT de WASHINGTON D C S content la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000415 NOFORN SIPDIS ÉTAT : NEA/MAG (SWILLIAMS, MNARDI, MHAYES) AUSSI POUR DRL : KMCGEENEY, S/WIC : PASSAGE DOD/OSD D'ARICCI : ALIOTTA, DOJ/ODAG : MSTRANSKY E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 06/23/2019 d'ÉTIQUETTES : PHUM, PREL, KDRG, PTER, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : OBTENU DEMANDE À DES EUROPÉENS DE NE PAS PRENDRE LES DÉTENUS TUNISIENS DE GUANTANAMO Référence : A. TUNIS 407 B. TUNIS 339 C. TUNIS 32 D. 08 TUNIS 1137 ET PRÉCÉDENT Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)
------- RÉSUMÉ -------
1. (S/NF) Un fonctionnaire aîné d'AMF a convoqué l'allemand, italien et les chefs espagnols de la mission le 19 juin pour les informer OBTENU veut les détenus tunisiens dans le camp de Guantanamo retourné à la maison. Selon le COMs européen, le message implicite était que leurs gouvernements ne devraient pas accepter la demande des USA de prendre les détenus tunisiens. Le COMs ont informé que leurs capitaux, mais n'ont aucune réponse encore. Lors d'une réunion le 22 juin, un petit groupe d'ambassadeurs (le le COMs allemand et italien y compris) a discuté les démarches d'AMF. Parmi les ambassadeurs, les vues ont différé sur les risques aux prisonniers tunisiens, mais certains ont indiqué qu'il y a une possibilité de torture ou de traitement pour n'importe qui accusé du terrorisme. Résumé d'extrémité.
------------------- EUROPÉENS DEMARCHED -------------------

2. (s) FM suivant Abdallah' ; réunion de s sur des détenus de Guantanamo avec l'Ambassadeur Godec le 18 juin (la référence A), l'AMF a convoqué l'Ambassadeur allemand Horst-Wolfram Kerll, l'Ambassadeur italien Antonio D' ; Andria et Espagnols chargent Santiago Miralles Huete pour séparer des réunions le 19 juin.

3. (s) Lors des réunions, le secrétaire d'état d'AMF pour des affaires Abdelhafidh Hergeum du Maghreb, d'Arabe et d'Africain a fourni une démarche semblable à cela donnée à l'Ambassadeur Godec, spécifiquement : -- La Tunisie veut ses citoyens à Guantanamo retourné, -- La Tunisie ne torture pas et a signé la convention contre la torture, -- Tunisia' ; l'image de s souffrirait si les détenus étaient envoyés à d'autres pays. Le message implicite de Hergeum, selon l'Européen COMs, était que leurs pays ne devraient pas être d'accord sur la demande des USA d'accepter les détenus tunisiens. Les trois fonctionnaires ont informé que leurs capitaux mais n'ayez aucune réponse. Selon l'ambassadeur allemand, l'ambassadeur tunisien à Berlin a fourni la même démarche à l'AMF allemand.
------------------- AMBASSADORS' ; RÉUNION -------------------
4. (s) Le 22 juin, l'ambassadeur a discuté la démarche OBTENUE avec l'Ambassadeur Kerll, l'Ambassadeur D' ; Andria, l'Ambassadeur BRITANNIQUE Chris O' ; Connor, Ambassadeur français Serge Degallaix, et Ambassadeur canadien Bruno Picard. L'Ambassadeur Godec a passé en revue le Minister' étranger ; démarche de s avec les ambassadeurs allemands et italiens détaillant alors les démarches qu'elles avaient reçues.
5. (S/NF) L'ambassadeur canadien a noté OBTENU a offert, comme évidence qu'elle ne torture pas, le cas d'Imam ledit Jaziri qui a été rapatrié du Canada en Tunisie en dépit des allégations qu'il serait maltraité. L'ambassadeur canadien a dit que la comparaison entre Jaziri et les détenus de Guantanamo est " ; crap" ; , expliquant que Jaziri était un criminel petit et non accusé du terrorisme. Le gouvernement canadien a passé en revue Jaziri' ; cas de s soigneusement et décidé il pourrait être transféré puisqu'il a eu des liens avec le terrorisme. La décision canadienne, Picard a suggéré, pourrait bien avoir été autrement si Jaziri avait été accusé du terrorisme.

6. (S/NF) L'ambassadeur italien a dit que l'Italie avait eu peu de problèmes avec des individus qu'ils avaient transférés en Tunisie. Les Italiens ont été en contact avec leurs familles et avocats et n'ont entendu aucune plainte sérieuse. Pourquoi, il, OBTENU a-t-il demandé voudrait-il maltraiter ou torturer a-t-il transféré des détenus de Guantanamo ?

7. (S/NF) L'Ambassadeur Godec a noté qu'il y a croyable rapports d'un des deux premiers cessionnaires étant maltraités, y compris l'information de l'avocat, de la famille et des rapports dans la séance publique. D'ailleurs, il y a des rapports croyables des fonctionnaires de Ministère de l'Intérieur maltraitant des détenus et des prisonniers dans d'autres cas. Il a ajouté cela contraire aux réclamations OBTENUES, le CICR ne peut pas visiter toutes les prisons tunisiennes car il n'a pas accès aux équipements non communiqués de MOI. L'ambassadeur BRITANNIQUE était d'avis que les utilisations OBTENUES torturent comme forme de punition.

8. (S/NF) L'ambassadeur canadien a dit le GOT' ; les rapports de s qu'il ne torture pas sont " ; bullshit." ; L'ambassadeur canadien (protégez) a dit qu'il a eu l'évidence directe et de première main de la torture/du traitement d'un prisonnier qui a duré plusieurs mois. Les ambassadeurs canadiens et allemands ont convenu que n'importe qui dans les prisons tunisiennes sur des frais de terrorisme est en danger du traitement ou de la torture.

9. (S/NF) Les ambassadeurs ont conclu la discussion avec plusieurs notant que les assurances diplomatiques tunisiennes concernant le traitement approprié des prisonniers est de valeur, mais qu'un mécanisme de suivi est exigé pour s'assurer des engagements sont gardés.

10. (S/NF) OBTENU clairement et veut fortement les détenus tunisiens à Guantanamo retourné à la maison. Comme nous avons proposé dans la référence A, les agences de Washington peuvent souhaiter considérer si offrir de retourner les détenus tunisiens si OBTENU accepte de permettre l'accès des USA aux deux premiers cessionnaires et l'accès continu à des futurs cessionnaires. Un tel arrangement devrait inclure un mécanisme pour aborder les problèmes qui peuvent surgir. Tandis qu'il n'y a aucune garantie absolue contre le traitement, un tel arrangement assurerait la protection additionnelle de cessionnaires. Si OBTENU accepterait le tel un arrangement est une autre matière. Nous ne sommes pas optimistes, mais il vaut de considérer. Si Washington décide de poursuivre des efforts de transférer les détenus tunisiens aux pays tiers, nous devons informer officiellement OBTENU à un à niveau élevé et bientôt. Godec

La politique cliquette la chambre de commerce Tunisien-Américaine le 27 novembre 2010 en-tête VZCZCXYZ0000 pp RUEHWEB d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 04:30 de 09TUNIS454 Date09/07/2009 DE RUEHTU #0454/01 1901630 ZNY SSSSS ZZH P 091630Z le 9 juillet FM AMEMBASSY TUNIS À la PRIORITÉ d'ASSOCIATION COLLECTIVE de l'INFORMATION RUCNMGH/MAGHREB PRIORITAIRE 6520 de WASHINGTON D C de RUEHC/SECSTATE S content la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000454 NOFORN SIPDIS ÉTAT POUR LE PASSAGE D'ÉTAT D'EEB/IFD/OMA, D'EEB/EPPD, ET DE NEA/MAG (HAYES) USTR (BURKHEAD) ET USAID (MCCLOUD) USDOC LE PASSAGE USPTO (ADAMS, BRUN ET MARÉCHAL) POUR ITA/MAC/ONE (MAÇON), DE CTR DE RECOMMANDATION (TABINE), ET DE CLDP (TEJTEL ET MCMANUS) USDOC CASABLANCA POUR FCS (ORTIZ) LE CAIRE POUR L'ATTACHÉ FINANCIER (SEVERENS) LONDRES ET PARIS POUR L'OBSERVATEUR DE NEA E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 03/03/2019 d'ÉTIQUETTES : ECON, EFIN, EINV, ETRD, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : LA POLITIQUE CLIQUETTE LA CHAMBRE DE COMMERCE DE TUNISIAN-AMERICAN Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)
------- Résumé -------
1. (C/NF) Ce qui était d'être une Assemblée générale élective courante pour la chambre de commerce Tunisien-Américaine avérée pour être moins ainsi quand TACC' ; président de s, Mondher Ben Ayed, annoncé il ne courait pas pour la réélection. Populaire parmi l'adhésion et crédité pour réparer TACC' ; les finances cassées par s, Ben Ayed ont cité le " ; health" ; raisons comme impulsion pour son départ. Une semaine plus tard, le conseil de TACC, maintenant composé d'onze compagnies tunisiennes et neuf américaines, a élu le Nazeh relativement inconnu Ben Ammar, tête d'une compagnie tunisienne de textile, en tant que nouveau président. Ben Ayed s'est réuni en privé avec l'ambassadeur et indiqué il a choisi de ramener en raison des risques politiques impliqués dans la position. Il a dit OBTIENT TACC vu comme " ; organization" politique ; en raison de son rôle comme interface tunisienne avec les États-Unis. Ambassade. Malheureusement, au moins une société américaine Pense deux fois à participer à TACC, citant l'énervement au sujet de la façon dont les vues OBTENUES l'organisation. TACC' ; les plans futurs de s semblent être des affaires comme d'habitude - travaillez aux divers comités, en renforçant des relations bilatérales d'affaires, et porte-frappez la mission de incitation aux Etats-Unis en octobre. Il reste à voir si la nouvelle conduite traduira en n'importe quel changement pour le rôle de TACC en Tunisie. Résumé d'extrémité.

2. (u) Le 18 juin, la chambre de commerce Tunisien-Américaine (TACC) a tenu leur Assemblée générale élective, élisant le nouveau panneau de 20 membres de l'organisation. Onze compagnies tunisiennes et neuf américaines se sont présentées comme candidats et ont été à l'unanimité votées dedans par acclamation de l'adhésion. Parmi les sociétés américaines Sont le Coca-Cola, le Citibank, le Cisco, et le Pfizer (voir svp la liste complète de membres du conseil dans Para 9). TACC n'est pas encore une chambre de commerce américaine officielle, en partie parce qu'ils n'ont pas un président de société américaine Ni les compagnies américaines composent la moitié du conseil. En 2007, TACC pouvait recruter un nombre considérable de sociétés américaines Au conseil qui n'avait pas participé à TACC précédemment.
--------------------------------------------- -------------- La politique présidentielle : Démissions et candidats de surprise --------------------------------------------- --------------
3. (C/NF) L'Assemblée générale élective est allée en grande partie comme prévu excepté l'annonce de surprise que Mondher Ben Ayed, président de TACC, ne fonctionnerait pas pour la réélection. Il a cité le " ; santé reasons." ; De sa naissance en 1989 jusqu'en 2007, TACC a eu seulement un président, Moncef Barouni. L'organisation avait survécu à des périodes de gestion mauvaise financière et d'adhésion de diminution jusqu'à ce que Ben Ayed ait été élu. Ben Ayed était instrumental en menant TACC hors de leurs ennuis financiers et dans le noir encore, au point où TACC retourne aujourd'hui un bénéfice considérable. Sous Ben Ayed' ; conduite de s, adhésion également augmentée de société américain de TACC, Créé un programme de formation de langue anglaise, et cravates renforcées avec l'ambassade.

4. (C/NF) Dès que Ben Ayed a fait son annonce, la spéculation a couru effréné quant à pourquoi il a ramené et à qui ferait un pas dans son endroit. Rym Bedoui (protégez), propriétaire des nourritures d'agora, une usine de traitement des denrées alimentaires des produits alimentaires, a en privé indiqué l'ambassade qu'elle était intéressée à courir pour la position. Elle a dit à l'ambassade qu'elle avait commencé à faire pression sur des membres du conseil pour l'appui quand Ben Ayed l'a appelée dans son bureau et l'a invitée à rester dessus comme sécrétaire général. Bedoui a également cherché une réunion avec Zarrouk mince, un homme d'affaires well-connected avec des cravates à l'OBTENIR, qui lui a indiqué le " ; they" ; vu lui en tant que trop pro-U.S. et ce " ; they" ; weren' ; t confortable avec elle comme président de TACC pour le " ; sécurité reasons." ; Bedoui a pris Zarrouk' ; s commente pour signifier le didn' OBTENU ; t veulent quelqu'un vu comme pro-U.S. menant TACC dans la perspective des élections de l'octobre 2009. Bedoui a également ajouté que Ben Ayed a les cravates fortes d'affaires avec Zarrouk.

5. (C/NF) Le 25 juin, les nouveaux membres du conseil de TACC assemblés au vote sur leur nouvelle conduite. Nazeh Ben Ammar, propriétaire d'une compagnie de textile et antérieurement membre-à-grand sur le conseil de TACC, a fonctionné pour la présidence sans opposition. Lors d'une réunion privée avec l'ambassadeur, Ben Ayed a partagé que Ben Ammar avait été un choix sûr, et le le plus susceptible de pousser TACC en avant sur ses projets commerciaux. Sami Smaoui, tête de Hewlett-Packard en Tunisie, a noté le choix de Ben qu'Ammar était impair, du fait la plupart des présidents de TACC avaient servi sur le conseil exécutif avant dans une certaine capacité. Ben Ammar a payé un faire appel de courtoisie à l'ambassade le 1er juillet et a offert son assurance que la coopération demeurerait fructueuse.
------------------------------------- Énervement au sujet de participation d'ambassade -------------------------------------

6. (S/NF) Lors de sa réunion avec l'ambassadeur, Ben Ayed a dit qu'il a ramené de TACC comme choix personnel. En dépit de l'Embassy' ; s participation purement économique et commerciale avec l'organisation, il a dit OBTIENT TACC vu pas comme chambre de commerce régulière, mais comme interface entre la Tunisie et l'ambassade des États-Unis. Ben Ayed a dit qu'il a défendu l'ambassadeur et l'ambassade dans le visage de la critique du " ; some" ; dans OBTENUE, mais celle il obtenait le " ; dangerous" ; pour lui et le travail risques portés.

7. (c) Depuis son commencement, l'ambassade a eu un siège honorifique et abstentionniste sur le conseil de TACC. Bien que l'ambassade ait été invitée en années avant le compte vote lors de la réunion du conseil d'administration exécutive (pour élire la conduite), cette année où l'ambassade a été seulement invitée à l'Assemblée générale élective du 18 juin. Smaoui a exprimé son souci au-dessus de ceci lors de la réunion du conseil d'administration exécutive et a demandé pourquoi l'ambassade n'a pas été invitée. Ben Ayed a répondu que c'était des affaires internes de TACC et il n'y avait aucun besoin de l'ambassade d'être là. TACC, cependant, a invité l'ambassade à leur réunion du conseil d'administration du 6 juillet et a agi comme si c'était des affaires comme d'habitude. Lors d'une réunion séparée avec Econ/dirigeant commercial, Sami Smaoui a indiqué qu'il était nerveux il didn' ; t savent exactement OBTIENT TACC vu, et dit qu'on l'a de plus en plus désillusionné que TACC transformait en " ; Affaires tunisiennes organization." ; Si choses suite sur le chemin courant dit-il qu'il ne courrait pas pour une tache sur le conseil encore.

------------------------ Activités prochaines de TACC ------------------------

8. (u) Lors de la réunion du conseil d'administration du 6 juillet, Ben Ammar discutée fournissant TACC' de personnel ; comités de s : le Comité de Tunisian Company, dont le but est de favoriser des exportations vers les États-Unis ; le Comité de compagnie des États-Unis, facilitant des liens avec des sociétés américains ; la collecte de fonds et le Comité d'activités ; le Comité du Conseil de MENA, favorisant des cravates avec des chambres dans d'autres Moyen-Orient et pays africains du nord ; et la commission juridique. TACC est planification porte-frappe la mission aux Etats-Unis en octobre, où il fera pression sur des membres du congrès et des agences principales d'USG pour soulever la conscience au sujet de la Tunisie et pour améliorer des contacts. TACC a demandé l'aide d'ambassade, comme dans le passé, pour organiser ce voyage.
-------------------- Conseil de TACC 2009-2010 --------------------
9. (u) Les COMPAGNIES AMÉRICAINES - l'électronique de Starz - Citibank - Cisco - couronne le Maghreb peuvent - Pfizer - BST/Coca-Cola - BMS/UPSA - Hewlett-Packard le Maghreb - investisseurs de Devonshire COMPAGNIES TUNISIENNES - Tunisie Courtage - la nourriture la plus fine - Mami - Ab - Maille Fil - International de consultation de passage de Mazars - de Dahmani - hôtel Marhaba - Taams - Hexabyte - Kallel et associés impériaux
------- Commentaire -------

10. (c) Mondher Ben Ayed' ; la démission de s est malheureuse mais pas complètement étonnante donnée la nature politique intense de la Tunisie dans la perspective des élections de l'octobre 2009. Étant donné que l'Embassy' ; l'enclenchement de s avec TACC a été seulement économique et commercial, le fait ce les vues OBTENUES TACC comme " ; political" ; fournit la perspicacité dans le régime et sa pensée. Ben Ayed a maintenu TACC fermement concentré sur les sujets commerciaux, et a réalisé un excellent travail reconstruisant l'organisation. Malheureusement, tous les organismes dans today' ; s Tunisie sont vus par un objectif politique. Il y a deux questions clé après ces derniers développements. D'abord, s'ils affecteront TACC' ; capacité de s de fonctionner effectivement. Et, deuxième, si les compagnies américaines concluront elles sont plus aisées se dissociant de TACC pour éviter un risque politique inutile. Nous aurons les réponses en temps opportun. En attendant, cependant, nous croyons l'élection de TACC, qui devrait avoir été simple et directe, ne présage pas bien pour l'organisation ou pour la Tunisie. Commentaire de fin. Godec


la croix d'ed indique qu'un ancien détenu de Guantanamo a besoin de traitement le 27 novembre 2010 En-tête VZCZCXYZ0000 pp RUEHWEB d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 04:20 d'ID09TUNIS472 Date15/07/2009 DE RUEHTU #0472 1961620 ZNY SSSSS ZZH P 151620Z le 9 juillet FM AMEMBASSY TUNIS À la PRIORITÉ COLLECTIVE de WASHINGTON DC PRIORITAIRE RUEKJCS/SECDEF de l'INFORMATION RUCNMGH/MAGHREB PRIORITAIRE 6543 de WASHINGTON D C de RUEHC/SECSTATE S content la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000472 NOFORN SIPDIS ÉTAT POUR LE PASSAGE DOJ/ODAG (MSTRANSKY) DU PASSAGE DOD/OSD (ALIOTTA) DE NEA/MAG (MHAYES), DE DRL (KMCGEENEY), ET DE S/WIC (ARICCI) E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 07/15/2019 d'ÉTIQUETTES : PREL, PHUM, PTER, KDRG, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : LE CICR INDIQUE QU'UN ANCIEN DÉTENU DE GUANTANAMO A BESOIN DE TRAITEMENT Référence : A. TUNIS 407 B. TUNIS 399 C. 08 TUNIS D. 1137 08 TUNIS 992 E. 07 TUNIS F. 1483 07 TUNIS G. 1448 07 TUNIS H. 1425 07 TUNIS 1060 Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)

1. (S/NF) Le coordonnateur tunisien de Comité International de la Croix Rouge (CICR) pour la protection régionale Francesco Bruscoli (protégez strictement) a informé le conseiller P/E temporaire le 14 juillet sur les marges d'une réception que le CICR avait récemment rendu visite aux deux anciens détenus de Guantanamo emprisonnés en Tunisie. Il a dit qu'Abdallah Ben Omar (Al-Hadji) souffre toujours psychologiquement, n'est pas logique, et a besoin de traitement. Il a dit que Ben Omar souffrait de son expérience cumulative au cours des sept dernières années (Refs ch). Il n'était pas plus précis au sujet des besoins de Ben Omar de traitement, et n'a eu aucun commentaire concernant le casier Swei Lagha de Lufti.
2. (S/NF) Bruscoli s'est enquis du statut des autres 10 détenus tunisiens de Guantanamo. Pol/chef d'Econ a mentionné qu'il y avait eu des articles de nouvelles concernant des discussions d'USG avec l'Allemagne, l'Italie et d'autres au sujet d'accepter probablement les détenus tunisiens. Dans ce contexte, Bruscoli a indiqué que l'ambassade allemande cherchait des assurances du OBTENU concernant le traitement des réfugiés mais n'a pas été satisfaite de la réponse jusqu'ici.
3. (c) Concernant l'autre travail de CICR, il a dit qu'ils commenceraient bientôt un nouveau projet visé réduisant le nombre de Tunisiens entrant dans le système pénitentiaire. Il a dit que les lois nécessaires sont déjà sur les livres mais doivent être mises en application. Ils ont l'appui à ce projet qui commencera à titre d'essai dans une des provinces plus petites. Le projet fonctionnera pour réduire le nombre de personnes en prison pré-en condamnant des mesures comprenant limiter la détention pre-trial et la condamnation des mesures qui pourraient fournir plus de solutions de rechange aux peines de prison.
4. (S/NF) Commentaire : Il est fortement peu commun pour des fonctionnaires de CICR d'être ainsi le contreseing concernant les anciens détenus de Guantanamo et indique vraisemblablement la préoccupation profonde de CICR concernant Ben Omar' ; état de s. Nous chercherons une réunion de suivi avec Francesco Bruscoli. Godec

La Tunisie préoccupée : Que devrions-nous faire ? 27 novembre 2010 en-tête VZCZCXRO0363 d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 04:19 de 09TUNIS492 Date17/07/2009 PP RUEHROV DE RUEHTU #0492/01 1981619 ZNY SSSSS ZZH P 171619Z le 9 juillet FM AMEMBASSY TUNIS À l'ASSOCIATION COLLECTIF ISRAÉLIEN de l'INFORMATION RUEHXK/ARAB PRIORITAIRE 6565 de WASHINGTON D C de RUEHC/SECSTATE SECTION 01 de S contente la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T de 05 TUNIS 000492 NOFORN SIPDIS DÉPARTEMENT POUR NEA AA/S FELTMAN, DAS HUDSON, GRIS D'AMBASSADOR-DESIGNATE, ET NEA/MAG D'AMBASSADEUR E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 07/13/2029 d'ÉTIQUETTES : PREL, GESTION DES DÉBORDEMENT DE PAGE, ECON, KPAO, LA MASSE, PHUM, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : LA TUNISIE PRÉOCCUPÉE : QUE DEVRIONS-NOUS FAIRE ? Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour E.O. 12958 raisonne 1.4 (b) et (d).
------- Résumé -------
1. (S/NF) Par beaucoup de mesures, la Tunisie devrait être un allié étroit des USA. Mais elle n'est pas. Tandis que nous partageons quelques valeurs principales et le pays a un disque fort sur le développement, la Tunisie a de grands problèmes. Le Président Ben Ali vieillit, son régime est sclérotique et il n'y a aucun successeur clair. Beaucoup de Tunisiens sont frustrés par le manque de liberté politique et irrités par la première corruption de famille, le taux de chômage élevé et les injustices régionales. L'extrémisme constitue une menace continue. Compliquant les problèmes, les ruisseaux OBTENUS aucun conseil ou critique, si domestique ou international. Au lieu de cela, il cherche à imposer une commande toujours plus grande, souvent utilisant la police. Le résultat : La Tunisie est préoccupée et nos relations sont aussi.
2. (S/NF) En trois dernières années, la mission des États-Unis Tunis a répondu en offrant une plus grande coopération où les Tunisiens disent qu'ils la veulent, mais non lancé de faire plate le besoin de changement. Nous avons eu quelques succès, notamment dans les secteurs commerciaux et militaires d'aide. Mais nous avons également eu des échecs. Nous avons été bloqués, en partie, par un ministère étranger qui cherche à commander tous nos contacts dans le gouvernement et beaucoup d'autres organismes. Trop souvent, OBTENU préfère l'illusion de l'enclenchement au dur labeur de la vraie coopération. Le changement important en Tunisie devra attendre Ben Ali' ; le départ de s, mais le Président Obama et ses politiques créent des occasions maintenant. Que devrions-nous faire pour tirer profit de elles ? Nous recommandons : -- gardez un foyer fort sur la réforme et le respect des Droits du Homme démocratiques, mais décalez la manière que nous favorisons ces buts ; -- recherche pour engager OBTENU dans un dialogue sur des questions d'intérêt mutuel, y compris le commerce et l'investissement, la paix de Moyen-Orient, et la plus grande intégration du Maghreb ; -- offrez à des Tunisiens (avec une emphase sur la jeunesse) une formation plus de langue anglaise, des échanges éducatifs, et des programmes culturels ; -- déplacez notre aide militaire à partir de FMF, mais recherchez les nouvelles manières d'établir la sécurité et la coopération d'intelligence ; et, -- augmentez les contacts à niveau élevé mais soumettez à une contrainte qu'une coopération plus profonde des USA dépend du vrai enclenchement tunisien.
Finissez le résumé. --------------------------------------------- ----- Le contexte : Relations historiques et valeurs partagées --------------------------------------------- -----
3. (SBU) Les Etats-Unis et la Tunisie ont 200 ans de cravates étroites et d'intérêts communs, y compris avancer la paix régionale, la prospérité de combat de terrorisme, et de construction. Depuis l'indépendance, la Tunisie mérite le crédit pour son progrès économique et social. Sans ressources naturelles de ses voisins, la Tunisie s'est concentrée sur des personnes et a diversifié son économie. Dans un succès tout le trop rare, OBTENU est efficace en fournissant des services (éducation, soins de santé, infrastructure et sécurité) à ses personnes. OBTENU a cherché à établir un & ; la connaissance economy8 pour attirer le FDI qui créera des emplois à valeur ajoutée élevés. En conséquence, le pays a apprécié cinq pour cent de croissance du PIB en termes réels pour la décennie passée. Sur women' ; les droites de s, Tunisie est un modèle. Et, la Tunisie a une longue histoire de tolérance religieuse, comme démontré par son traitement de sa communauté juive. Tandis que significatifs les défis demeurent (surtout le country' ; s taux de chômage de 14 pour cent) tout bien pesé Tunisie a fait mieux que les la plupart dans la région.

4. (SBU) Sur la politique extérieure, la Tunisie a longtemps joué un rôle de moderate (bien que récemment son but a été au & ; faites avancer everyone8). Les rejets OBTENUS le boycott de ligue arabe des marchandises israéliennes. Bien qu'il ait cassé des cravates avec l'Israël en 2000, OBTENU de temps en temps a participé au cours des discussions tranquilles avec les fonctionnaires israéliens. OBTENU également soutient Mahmoud Abbas ' ; conduite de l'autorité palestinienne. La Tunisie a participé à la conférence d'Annapolis et a soutenu nos efforts de favoriser des négociations Israelo-Palestiniennes. OBTENU est semblable sur l'Iran, est un allié dans le combat contre le terrorisme, et a maintenu une ambassade en Irak au niveau de charge. D'ailleurs, la Tunisie a récemment signé un accord de rémission de dette avec le GOI aux conditions de Groupe des dix ; c'est le premier pays arabe à faire ainsi.

5. (SBU) En conclusion, bien que les Tunisiens aient été profondément fâchés au-dessus de la guerre en Irak et aux USA perçus de biais vers l'Israël, admirez toujours le & ; le dream.8 américain en dépit de la colère à la politique extérieure des USA, nous voyons un désir croissant pour l'instruction de langue anglaise, un souhait pour plus éducatif et TUNIS 00000492 002 DE 005 échanges scientifiques, et une croyance de la culture américaine de l'innovation. Les Tunisiens voient ces derniers comme importants pour leur futur.
--------------------------------------------- -------- Le problème : Un régime sclérotique et une corruption croissante --------------------------------------------- ---------

6. (c) En dépit de Tunisia' ; le progrès économique et social de s, son disque sur des libertés politiques est pauvre. La Tunisie est un état policier, avec peu de liberté d'expression ou d'association, et des problèmes sérieux de droits de l'homme. OBTENU peut indiquer du progrès politique dans la dernière décennie, y compris une extrémité à l'examen antérieur des livres et l'accès de CICR à beaucoup de prisons. Mais pour chaque pas en avant il y a eu des autres en arrière, par exemple le changement récent des moyens de communication privés importants par des individus près du Président Ben Ali.

7. (c) Le problème est clair : La Tunisie a été ordonnée par le même président pendant 22 années. Il n'a aucun successeur. Et, alors que le Président Ben Ali mérite le crédit pour continuer plusieurs des politiques progressives du Président Bourguiba, lui et son régime ont perdu le contact avec les personnes tunisiennes. Elles ne tolèrent aucun conseil ou critique, si domestique ou international. De plus en plus, elles comptent sur la police pour la commande et le foyer sur préserver la puissance. Et, la corruption dans le cercle intime se développe. Même les Tunisiens moyens se rendent maintenant profondément compte de elle, et le choeur des plaintes monte. Les Tunisiens détestent intensément, détestent même, la première Madame Leila Trabelsi et son famille. Dans privé, les adversaires de régime la raillent ; même ceux près de la consternation exprès de gouvernement à son comportement rapporté. En attendant, la colère se développe à Tunisia' ; taux de chômage élevé de s et injustices régionales. Par conséquent, les risques au regime' ; la stabilité à long terme de s augmentent.
--------------------------------------------- --------------- Relations Nous-Tunisiennes : Si seulement nous dirions c'est paradis --------------------------------------------- ---------------
8. (S/NF) Les relations Nous-Tunisiennes reflètent les réalités du régime de Ben Ali. Du côté positif, nous avons accompli plusieurs buts ces dernières années, incluant : -- augmentation sensiblement de l'aide des USA aux militaires au terrorisme de combat ; -- amélioration (quoique toujours avec des défis) de quelques programmes importants d'anti-terrorisme ; -- renforçant les cravates commerciales, y compris tenir une session du Conseil de TIFA, l'accueil plusieurs le commerce et les délégations économiques et élever l'activité économique ; -- cravates de construction aux jeunes et à la communauté culturelle par des programmes de langue anglaise augmentés, un nouveau festival de film, et de nouveaux efforts d'outreach de médias ; et -- intérêt congressionnel d'une manière encourageante en Tunisie.
9. (c) Mais nous avons également eu trop d'échecs. Fréquemment OBTENUS les déclins à engager, et avoir été là trop d'occasions perdues. OBTENU a : -- a refusé de s'engager sur le compte de défi de millénium ; -- programmes régionaux diminués d'USAID pour aider les jeunes ; -- a réduit le nombre d'étudiants de bourse de Fulbright ; et, -- a refusé de s'engager dans des négociations de ciel ouvert. La plupart de préoccuper a été le GOT' ; effort unilatéral et maladroit de s d'imposer de nouveaux et rétroactifs impôts à l'école coopérative américaine de Tunis. Il n'est guère douteux que cette action était à la demande des amis puissants (probablement comprenant Leila Trabelsi) de l'international instruisez de Carthage. Elle soulève des questions importantes au sujet de gouvernement tunisien et de notre amitié. Si, à la fin, le GOT' ; les actions de s forcent l'école pour nous fermer devront réduire la mission, limiter nos programmes, et composer en bas de nos relations.
10. (c) En même temps, OBTENU a les commandes de plus en plus renforcées également qui le rendent particulièrement difficile pour que la mission des États-Unis conduise des affaires. Les commandes, mises en place par le ministre des affaires étrangères Abdallah, exigent de la mission d'obtenir la permission écrite d'AMF pour le contact avec tous les organismes tunisiens officiels et semi-officiels. On ne permet plus aux des fonctionnaires OBTENUS à mi-niveau de communiquer avec le personnel d'ambassade sans autorisation exprès et instructions AMF-dégagées. Toutes les demandes et démarches de réunion doivent être données par la note diplomatique. Les la plupart disparaissent sans réponse. Toutes les ambassades à Tunis sont affectées par ces commandes, mais elles ne sont aucun moins frustrant pour cela.
11. (c) Au delà des commandes bureaucratiques suffocantes, OBTENU le rend difficile pour que la mission maintienne le contact avec un bandage large de la société tunisienne. les journaux Obtenir-commandés attaquent souvent les activistes tunisiens de société civile qui participent aux activités d'ambassade, les dépeignant comme traîtres. La police Plain-clothes menace parfois en dehors des événements accueillis par EmbOffs, intimidant des participants. Dans un exemple du GOT' ; la tactique de s, nous avons attribué une concession locale par MEPI à un femme tunisien, mais son patron au ministère de commerce lui a dit de ne pas le poursuivre. Elle a persisté pendant un certain temps, mais a soutenu quand elle a commencé à recevoir des menaces de mort anonymes.
12. (c) Une partie du GOT' ; des actions de s peuvent être liées à son aversion intense pour l'ancien Administration' ; & de s ; la liberté agenda.8 OBTIENT considéré cette politique dangereuse et cru lui a ouvert la porte pour que les extrémistes islamiques saisissent la puissance. Les chefs OBTENUS n'ont fait aucun secret de leur désapprobation de l'Ambassador' ; s et tout autre EmbOffs' ; contacts avec des chefs de parti d'opposition -- en particulier le Party' Democratic progressif ; s Nejib Chebbi, l'objet du Président Ben Ali' ; animosité personnelle intense de s -- aussi bien que les activistes de société civile qui critiquent le régime. Ils critiquaient intensément, aussi bien, l'Administration' précédent ; l'utilisation de s des rapports publics (comme jour 2008 de liberté de la presse du monde), qu'ils ont crus injustement a visé la Tunisie.
---------------------- Ainsi, que devrions-nous faire ? ----------------------
13. (c) Malgré les anéantissements de faire des affaires ici, nous ne pouvons pas amortir la Tunisie. Nous avons trop en jeu. Nous avons un intérêt en empêchant al-Qaeda dans le Maghreb islamique et d'autres groupes d'extrémiste d'établir un équilibre ici. Nous avons un intérêt en gardant le professionnel et le neutre militaires tunisiens. Nous avons également un intérêt en stimulant une plus grands franchise et respect des Droits du Homme politiques. Il est dans notre intérêt, aussi, de construire la prospérité et le Tunisia' ; la bourgeoisie de s, le soutien pour le country' ; stabilité à long terme de s. D'ailleurs, nous devons augmenter la compréhension mutuelle pour aider à réparer l'image des Etats-Unis et de la coopération plus grande bloquée sur nos beaucoup de défis régionaux. Les Etats-Unis ont besoin de l'aide dans cette région favoriser nos valeurs et politiques. La Tunisie est un endroit où, à temps, nous pourrions la trouver.
----------------- La main prolongée -----------------
14. (c) Depuis le Président Obama' ; l'inauguration de s, Tunisiens ont été plus réceptive aux Etats-Unis. Les fonctionnaires OBTENUS aînés ont chaudement souhaité la bienvenue au Président Obama' ; rapports et discours de s. Son adresse au Caire a dessiné l'éloge particulière, avec le ministre des affaires étrangères l'appelle & ; courageous.8 en attendant, quelques contacts de société civile qui avaient été boycottant l'ambassade fonctionne en opposition à la guerre en Irak a commencé venir autour encore. Généralement, la métaphore du & ; hand8 prolongé dans le Président Obama' ; l'adresse inaugurale de s a résonné puissant avec des Tunisiens. Concrètement, les Tunisiens ont fait bon accueil à beaucoup de l'Obama Administration' ; actions de s, y compris la décision pour clôturer le centre de détention de compartiment de Guantanamo et les plans pour des retraits de troupe d'Irak. Surtout, des Tunisiens ont été satisfaits par le President' ; tonalité, rapports et actions de s (jusqu'ici) sur la paix de Moyen-Orient.

----------------------------------------- Comment avancer la démocratie et les droits de l'homme -----------------------------------------

15. (s) L'administration d'Obama crée une occasion importante, puis, de explorer si et comment poursuivre un rapport bilatéral plus productif. Les fonctionnaires OBTENUS déclarent que les Etats-Unis tendent à se concentrer sur des questions où nous ne voyons pas l'oeil-à-oeil. Ils se raidissent à nos appels pour une plus grands réforme et respect des Droits du Homme démocratiques, et à protestation qu'ils accomplissent le progrès. Pendant des années, l'Embassy' ; le but supérieur de s a été de favoriser le progrès dans ces secteurs. Nous devons maintenir le foyer, particulièrement avec 2009 une année d'élection dans la Tunisie. Ben Ali est sûr d'être réélu par une marge importante dans un processus qui ne sera ni libre ni juste. Dans ce contexte, nous devrions continuer à souligner l'importance de ces issues, et à maintenir des contacts avec les quelques partis d'opposition et groupes de société civile critiques du régime.

16. (c) Nous devrions considérer comment cet objectif de politique est publiquement manifesté, cependant. Pendant plusieurs années, les Etats-Unis ont été dehors dans l'avant -- publiquement et en privé - critiquant OBTENU pour l'absence de la démocratie et le manque de respect des Droits du Homme. Il y a un endroit pour une telle critique, et nous ne préconisons pas l'abandonner. Nous recommandons une approche plus pragmatique, cependant, par lequel nous parlions aux Tunisiens très clair et très à un à niveau élevé au sujet de nos soucis concernant Tunisia' ; la démocratie de s et les droits de l'homme pratique, mais rappelle la critique publique. L'élément clé est plus et franchise privée à niveau élevé fréquente. Nous recommandons d'être explicites avec les chefs OBTENUS que nous changeons notre approche, tout en également précisant que nous continuerons à engager dans en privé les partis d'opposition et la société civile.

17. (c) En outre, nous devrions augmenter nos efforts de persuader nos associés européens, et d'autres pays semblables, d'intensifier leurs efforts de persuader OBTENU pour accélérer la réforme politique. Tandis que certains l'UE (par exemple, Allemagne, au R-U) sont conformes à nous, les pays principaux tels que la France et l'Italie ont lancé de faire pression sur OBTENU. Nous devrions travailler pour les obtenir pour faire ainsi, et pour conditionner davantage d'aide et statut avancé d'associé d'UE là-dessus.
---------------------------- Avancement d'autres intérêts des USA ----------------------------

18. (c) Si nous réussissons sur la démocratie et les droits de l'homme, les Etats-Unis ont un intérêt pour des relations de bâtiment avec une gamme étendue de Tunisiens, en particulier le jeune. Pour faire ainsi, et établir la bonne volonté avec OBTENUE, nous devrions offrir au gouvernement un dialogue sur une gamme des issues d'intérêt mutuel, soutenues par aide accrue. De plus grand intérêt au OBTENU soyez enclenchement accru sur les questions économiques, c.-à-d., sur le commerce bilatéral et l'investissement croissants, aussi bien que la fourniture d'assistance technique, impliquant particulièrement le transfert de technologie. Les Tunisiens feraient bon accueil à une renaissance de l'association économique africaine de Nous-Nord, aussi bien que d'autres efforts qui favoriseraient l'intégration économique africaine du nord.

19. (c) En outre, nous devrions offrir l'enclenchement sérieux dans des secteurs prioritaires pour les Tunisiens qui bénéficieront également les Etats-Unis, incluant : -- plus, et des programmes plus complets et plus de langue anglaise ; -- Bourses de Ph.D. pour que les étudiants tunisiens étudient aux Etats-Unis, de ce type qui USAID employée pour rendre disponible dans le 1970' ; s et 1980' ; s ; -- plus de soutien des tringleries d'université ; -- plus d'échanges de la science et de technologie -- pour donner la substance à un S& bilatéral ; Accord de T qui, sans l'argent derrière lui, a eu peu d'impact ; et -- une programmation plus culturelle.

20. (c) En plus de parler à l'OBTENIR, nous devons engager dans directement les personnes tunisiennes, particulièrement jeunesse. L'ambassade emploie déjà Facebook comme outil de communication. En outre, nous avons l'Ambassador' ; blog de s, une entreprise relativement nouvelle qui attire l'attention. Au-dessus des années passées, l'ambassade a sensiblement augmenté son outreach à la jeunesse tunisienne par des concerts, des festivals de film, et d'autres événements. Notre centre de ressource en information et America' ; les coins de s sont des manières populaires pour que les Tunisiens accèdent à des nouvelles et à l'information non filtrées. Nous devrions continuer et augmenter de tels programmes.
------------------------------------------- Plus larges objectifs de politique extérieure et coopération de sécurité de avancement -------------------------------------------
21. (c) Nous devrions également chercher de nouvelles manières d'engager la Tunisie dans la poursuite de notre plus large ordre du jour de politique extérieure. Nous croyons qu'OBTENU ferait bon accueil à ce genre d'enclenchement, et qu'il payerait des dividendes, non seulement dans notre rapport bilatéral mais également sur les questions transnationales. Par exemple, nous continuons à compter sur le soutien OBTENU de nos efforts de favoriser la paix Israël-Palestinienne et d'Israélien-Arabe. Bien que la Tunisie ait limité l'influence dans la ligue arabe, elle reste dans le camp modéré, comme démontré récemment par son refus pour participer au sommet extraordinaire de Doha sur la situation à Gaza. Aux moments appropriés, nous recommanderions de faire plus pour donner des instructions OBTENU sur nos efforts dans le processus de paix et pour les dessiner dans fournir l'appui additionnel. Envoyé spécial Mitchell' ; l'arrêt de s ici en avril était bien reçu et nous devrions rechercher des manières de continuer de telles consultations.

22. (S/NF) Il y a des occasions dans le domaine de la coopération de sécurité, aussi. Pour des démarreurs, nous savons que la Tunisie pourrait réaliser un meilleur travail en partageant l'intelligence avec nous au sujet de la menace du terrorisme en Afrique du Nord. C'était tout le trop clair quand, encore une fois, OBTIENT récemment pour partager l'information avec nous en temps utile sur une parcelle de terrain rapportée contre les effectifs militaires des USA. GRPO avait pris des mesures à la coopération d'augmentation par des canaux de liaison ; tandis qu'il y a eu de progrès, plus est possible.
23. (c) Sur la coopération militaire, le temps est venu pour décaler notre aide militaire à partir de FMF à des programmes plus visés qui répondent aux besoins spécifiques. Là augmente l'évidence que les militaires tunisiens n'ont pas besoin de FMF au degré il réclame, et quoi qu'il arrive il nous a achetés trop peu de la manière de la coopération. En revanche, nous devrions nous concentrer sur travailler avec les Tunisiens pour identifier un nombre restreint de secteurs étions coopération semble raisonnable. L'utilisation récente de la section 1206 et des programmes de PKO de fournir aux militaires tunisiens le radar de surveillance terrestre et les avions non-pilotés de surveillance est un bon exemple.
--------------------------------------------- ------------- Notre message : Une coopération plus profonde dépend du vrai enclenchement --------------------------------------------- -------------

24. (s) La Tunisie n'est pas un allié aujourd'hui, mais nous partageons toujours l'histoire et les valeurs importantes. Elle est juste pour considérer la Tunisie un ami, quoique prudent, fermé et éloigné. D'une manière plus importante, dans une région dans l'agitation, la Tunisie a de meilleures perspectives que les la plupart quoiqu'elle soit préoccupée. En fin de compte, le changement sérieux ici devra attendre Ben Ali' ; départ de s. Mais le Président Obama' ; la nouvelle tonalité et les politiques de s peuvent créer une occasion fournie. Nous devrions l'employer pour faire des ouverture au OBTENU dans les secteurs où ils cherchent notre participation ou aide. Et, nous devrions chercher à engager tous les Tunisiens (particulièrement les jeunes) des manières qui amélioreront le futur pour nos deux pays.
25. (s) Pour nous réussir, cependant, avons besoin des ressources et de l'engagement de Washington. Les programmes nouveaux et augmentés exigeront de l'argent et du personnel de les mettre en application, en particulier dans des affaires publiques. Des fonctionnaires aînés de gouvernement des USA doivent également être disposés à visiter plus souvent que ces dernières années pour engager les Tunisiens. Les réunions en dehors de la Tunisie sont un bon outil, aussi. Le Secretary' ; la rencontre récente de s avec les ministres des affaires étrangères africains du nord sur les marges de la conférence de reconstruction de Gaza dans le Sharm el-Sheikh fournit un modèle pour l'enclenchement et offre l'avantage supplémentaire de nous permettre de favoriser également une plus grande intégration du Maghreb.
26. (s) En conclusion, nous recommandons des fonctionnaires des USA soyons certains lors de toutes les réunions avec des Tunisiens : plus de coopération des USA dépend du vrai enclenchement tunisien. Trop longtemps la Tunisie a patiné près. Un petit pays, dans une région dure, OBTENU se fonde sur des promesses vagues de l'amitié et des slogans vides. Davantage peut et devrait être prévu de la Tunisie. OBTENU indique fréquemment que c'est un allié des USA et réclame un plus grand enclenchement des USA. Nous devrions répondre clairement : oui, mais seulement si nous obtenons l'aide véritable de Tunisie sur les défis qui importent à nous tous. Le gouvernement de Tunisien aime l'illusion de l'enclenchement. Le gouvernement des USA devrait encourager le dur labeur de la vraie coopération. Godec

En exclusivité, une partie des documents secrets qui concernent la Tunisie dévoilés par Wikileaks 2

Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour des raisons. 1.4 (b) et (d). ------- Résumé -------
1. (s)
Dans le plus en retard dans une longue corde des affaires incertaines d'affaires, le clan de Ben Ali a récemment écrit l'activité bancaire, conduite arrogante de Tunisia' ; s la plupart de banque privée profitable -- Banque de Tunisie (BT). En avril, Alya Abdallah, épouse de ministre des affaires étrangères Abdalwahab Abdallah, est allé bien au président du BT, remplaçant le bel Kahia de Faouzi, fortement - le banquier respecté qui a tenu le poteau pendant 16 années. Selon un contact d'opérations bancaires d'ambassade, le bel Kahia a été de force enlevé pour créer une ouverture pour Abdallah. Depuis prendre le bureau, Abdallah a remplacé trois membres du conseil -- deux d'entre eux ex-ministres -- avec des initiés tels que Belhassen Trabelsi, le President' ; frère de s et oft-cited en tant que meneur derrière la corruption de clan de Ben Ali (Refs C, D, E, F). Abdallah a également décommandé une décision prise par des actionnaires pour augmenter le nombre de parts. Les parts du BT sont tombées presque 25 pour cent depuis les changements.
Résumé d'extrémité. -------------------------- Mme Abdallah' ; jeu de pouvoir de s --------------------------
2. (s) Alya Abdallah, épouse de ministre des affaires étrangères Abdelwahab Abdallah, a été nommé président de Banque de Tunisie (BT) en avril, remplaçant le bel Kahia de Faouzi, fortement - le banquier respecté qui a tenu le poteau pendant 16 années. Abdallah a été officiellement nommé par le conseil d'administration et sa position sera ratifiée par des actionnaires du BT à la prochaine Assemblée générale. Le BT est la Tunisie, s la banque privée contrôlée la plus profitable et la meilleure. Tandis que la plupart des banques tunisiennes restent sellées avec des prêts à faible rendement, BT' ; les capitaux de s sont forts et on s'attend à ce que 2007 bénéfices nets soient dans le voisinage de 160 millions de dinars. Bien qu'Abdallah vienne au BT de sa position comme président du conseil d'administration chez Union Internationale de Banque (UIB -- majorité-possédé par Societe Generale), les contacts d'ambassade sont rapides pour la préciser n'est pas qualifiés pour l'une ou l'autre position.
3. (s) Avant UIB, Abdallah' ; s encaissant seulement l'expérience était comme tête des ressources humaines chez Societe Tunisienne de Banque d'Etat (STB). Comme un contact, un ancien Président de banque lui-même, plaint, " ; elle n'a jamais été une banquière et n'a aucun experience." financier ; Abdallah' ; on rapporte que la tenure de s à UIB est rocheuse, avec des histoires des correspondances de cri entre Abdallah et directeur général français. Selon l'ancien Président de banque, Abdallah a demandé au gouverneur des banques centrales Taoufik Baccar de se débarasser du GM. Le GM a été invité à quitter le pays, qu'il a fait. Abdallah a alors demandé Baccar une nouvelle position, avec ses vues sur Banque de Tunisie' ; présidence de s.
------------------- Dehors avec le vieux… -------------------
4. (s) Bien que le BT et l'ancien Président bel Kahia apprécient d'excellentes réputations dans la communauté tunisienne d'opérations bancaires, plusieurs facteurs ont rendu le BT mûr pour le changement. Le BT est entièrement privé, mais tenu par de nombreux petits actionnaires, avec le plus grand dépositaire -- Crédit industriel et commercial français (CIC) -- tenir seulement 20 pour cent de la banque. Le bel Kahia de Faouzi souffre censément de la sclérose en plaques. Bien que bel Kahia' ; la maladie de s a fourni cette ouverture, les rumeurs indiquent et un contact d'ambassade dans l'industrie a confirmé que le bel Kahia a été éliminé. Le bel Kahia a eu a voulu rester par le bank' ; l'Assemblée générale de s, pendant laquelle BT' ; bénéfices stellaires de s des 2007 seront rapportés. Selon ce contact, le bel Kahia a été visité deux fois par Baccar : pendant le premier bel Kahia de visite parlé en faveur pour rester, mais pendant la deuxième visite Baccar lui a indiqué qu'il était dehors, auquel on rapporte que le bel Kahia répond avec des larmes. Le contact a noté que le niveau du governor' ; l'intervention de s dans cette situation était sans précédent. Le bel Kahia a été répandu pour avoir choisi un successeur, qui avait été déjà approuvé par le conseil. Tandis que pas actuellement dans la politique, bel Kahia joue un ami du régime, servant précédemment de ministre de transport et de directeur général de Tunisair d'Etat. Depuis prendre sa nouvelle position, Abdallah a enlevé trois membres du conseil -- Abderrazak Rasaa, ancien Secrétaire d'État des finances, Ilyes Jouini, professeur à l'université de Dauphine à Paris, et Tijani Chelli, un ex-ministre des travaux publics, ministre des télécommunications et ministre de l'économie, --------------- Dans avec le nouveau ---------------
5. (s) Bien que le départ de trois membres du conseil notables soit une surprise, c'était un remplacement en particulier qui a attiré l'attention, et colère, des milieux d'affaires tunisiens. Abdallah a appelé Belhassen Trabelsi, le President' ; frère de s et largement considéré d'être l'acteur clé en corruption de clan de Ben Ali, au bank' ; conseil d'administration de s et également au comité de crédit. Trabelsi a été censément impliqué dans un éventail d'arrangements de corruption -- avec des histoires s'étendant de lui magasin d'établissement dans une station service à travers de l'aéroport pour faciliter des expéditions de douane en échange pour de grands paiements illicites et à la propriété de expropriation à la volonté des propriétaires d'une maison malchanceux. En février, Trabelsi a commencé à acheter des nombres importants de parts du BT (20.000 un jour), appelant l'attention sur son intérêt pour la banque. Son enjeu courant au BT est inconnu. En plus de Trabelsi, de Lotfi Hamrouni, de Président du groupe de Hamrouni, et d'Ali Bakir, SFBT (Tunis Refigeration et Brewing Company) -- Tunisia' ; l'embouteilleur de Coca-Cola de s, ont été appelés au conseil.
6. (s) En plus de changer la composition du conseil, Abdallah a décommandé un communiqué publié par les actionnaires avant son arrivée. Les actionnaires ont signé un Pacte d' ; Actionnaires pour doubler leurs parts et pour augmenter le capital de banque. L'ancien banquier a caractérisé le pacte comme effort par des actionnaires de protéger leur influence au sein de la banque. Les parts du BT sont tombées 25 pour cent depuis qu'Abdallah a décommandé le communiqué. L'ancien Président de banque a noté que la commande du BT est un avantage significatif à la famille, leur donnant un outil financier à leur disposition avec laquelle elles peuvent acquérir et financer de nouvelles entreprises. En soi, l'exécution de banque est un souci secondaire.
------- Commentaire -------
7. (s) Tunisia' ; le secteur financier de s est déjà infesté par des niveaux élevés des prêts à faible rendement, beaucoup dont sont un résultat des pratiques en matière d'opérations bancaires corrompues. Belhassen Trabelsi' ; la position de s sur n'importe quel conseil de banque, ou le comité de crédit, serait sujet d'inquiétude significatif. Dans le cas du BT, sa participation compromet l'intégrité de Tunisia' ; institution bancaire de première de s. D'ailleurs, la banque centrale Governor' ; la participation de s dans ce scénario émet des doutes sur sa capacité ou volonté de servir d'acteur indépendant. Des efforts sérieux à la réforme de secteur bancaire ont été juste occupés un coup lourd.
8. (s) Les Tunisiens ne peuvent pas se plaindre publiquement, mais font tellement fort dans privé au sujet du capitalisme de copain et des gains mal acquis. Les rumeurs de la corruption familiale sont devenues répandues en Tunisie, avec Banque de Tunisie juste un de beaucoup d'exemples. En dépit de leur anéantissement, beaucoup de Tunisiens en sont rapides pour affranchir Ben Ali de responsabilité directe et pour rejeter le blâme carrément sur le Trabelsis. Cependant, réclame qu'il est ignorant de la crédibilité de contrainte de situation. Initiés OBTENUS et le President' ; le famille étendu de s retirent les avantages de Ben Ali' ; s a continué le règne, mais de cette manière a miné l'efficacité et la crédibilité du gouvernement. Même si l'argent ne coule pas dans Ben Ali' ; compte bancaire de s, il porte la responsabilité de ce qui se produit sur sa montre. L'impact économique est clair, avec les investisseurs tunisiens craignant le long-bras de la famille -- renoncer à de nouveaux investissements, gardant l'investissement évalue la haute du bas et du chômage (Refs A, B). Confronté au taux de chômage élevé et aux prix élevés, des Tunisiens sont simultanément confrontés avec la corruption évidente et les affichages remarquables de la richesse. L'anéantissement est palpable, mais il est évident qu'il n'y a aucune extrémité en vue.

Commentaire de fin. Veuillez visiter l'ambassade Tunis' ; Site Web classifié à :

fm de http://www.state.sgov.gov/p/nea/tunis/index.c GODEC Signalé dans des affaires de famille

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La Commission militaire commune Nous-Tunisienne produit de meilleurs briefings tunisiens mais beaucoup de détails manquant toujours du 27 novembre 2010 en-tête VZCZCXYZ0000 pp RUEHWEB d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 05:14 de 09TUNIS314 Date21/05/2009 DE RUEHTU #0314/01 1411714 ZNY SSSSS ZZH P 211714Z le 9 mai FM AMEMBASSY TUNIS À la PRIORITÉ d'ASSOCIATION COLLECTIVE de l'INFORMATION RUCNMGH/MAGHREB PRIORITAIRE 6315 de WASHINGTON D C PRIORITAIRE RUEHC/SECSTATE de WASHINGTON DC de RUEKJCS/SECDEF S content la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000314 NOFORN SIPDIS DOD POUR L'ÉTAT D'OSD (DASD WHELAN) ET D'OSD/ISA/NESA POUR PM/RSAT (DANIELEWSKI) NEA/MAG (HAYES) E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 05/21/2019 d'ÉTIQUETTES : LA MASSE, MARR, PREL, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : LA COMMISSION MILITAIRE COMMUNE D'US-TUNISIAN PRODUIT DE MEILLEURS BRIEFINGS TUNISIENS MAIS BEAUCOUP DE DÉTAILS MANQUANT TOUJOURS Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d) ------- Résumé -------
1. (c) La Commission militaire commune Nous-Tunisienne des 11-13 mai (JMC) a vu des échanges productifs sur une série de matières concernant la coopération militaire bilatérale. Les Tunisiens étaient plus reçus qu'ils ont été ces dernières années au sujet de leurs priorités en ce qui concerne les besoins militaires d'aide, bien qu'ils n'aient pas fourni un document de planification complet présentant ces priorités en détail et comment elles le financement militaire étranger d'utilisation d'intendto (FMF) et les autres moyens pour les rencontrer. En prochaines semaines, la mission passera en revue FMF et toute autre aide des USA ici à la lumière du JMC et d'autres développements dans des relations bilatérales Nous-Tunisiennes, y compris des issues liées à l'école coopérative américaine de Tunis. Résumé d'extrémité.
----------------- Préparer le terrain -----------------
2. (c) Le 7 mai, avant le commencement formel du 24ème JMC Nous-Tunisien, DASD Whelan rencontré le ministre de défense Morjane. Lors de cette réunion, Morjane et Whelan ont exprimé la satisfaction pour la coopération militaire de longue date entre nos deux pays, notant notre rapport historique et cravates amicales. Morjane était particulièrement reconnaissant pour la fourniture du radar de surveillance terrestre (GSR) et des véhicules aériens touchés (UAV), qui aidera les militaires tunisiens à patrouiller la frontière. Whelan a précisé que le gouvernement des États-Unis était heureux de pouvoir aider la Tunisie fixent mieux ses frontières. Elle a noté, cependant, que l'environnement économique courant aurait un impact sur l'aide étrangère. " ; Nous pouvons ne pas pouvoir au sustain" ; des niveaux actuels d'aide militaire vers la Tunisie, elle a expliqué.
3. (c) Le DASD Whelan a souligné que la crise économique l'a rendu plus important pour le Th USG pour comprendre les besoins et des prorities militaires tunisiens, expliquant qu'une telle information est criical à la planification des USA et à la livraison de l'assstance militaire. En outre, elle a adressé les communications régulières d'avenue du besoin, pour s'assurer que nous-unisian association militaire reste fort et effctive. (Note : Elle n'a pas spécifiquement mentionné que déception de S ou les conditions imposé près qu'il A OBTENUES sur l'exercice de BAISSE d'ATLAS, mais il était clar que cet incident était symptomatique du problème auquel elle faisait référence.) Morjane a convenu, des Bu a noté que Tunisia' ; contraintes militaires relativement petites de mposes de s sur le nombre de chapeau d'engagements qu'ils peuvent prendre. Il a spécifié ce Tunisiahas 11 commissions militaires communes avec de divers cuntries, y compris un juste créé avec du ND de la Belgique a noté que pendant la dernière année l'ilitary tunisien avait participé dans plus de 300 actiities militaires, y compris 100 jours, valeur de l'esprit d'activités les Etats-Unis. Whelan a indiqué que la stat unie a été intéressée plus de la qualité du rapport, plutôt que la quantité d'activités communes.
4. (S/NF) Follown leur réunion 30, DASD Whelan et DefMi minute Morjane levés à son bureau pour une réunion restreinte, qui également a inclus l'Ambassadeur Godec dessus il côté des USA ; et directeur général de brigadier général militaire Mohamed Meddeb, bdelkader Adouni de Seurity de colonel, et Chiheb principal Khelifa de côté theTunisian. Morjane et Whelan ont répété les hemes adressés lors de la réunion plus large, avec Whela soulignant que l'USG a besoin de plus d'accès Tunisia' de précision ; les conditions de s d'améliorer le garde contre la menace ont posé par al-Qaeda dans le Maghreb islamique. Le Général Meddeb était d'avis qu'une meilleure coopération militaire-militaire d'intelligence aiderait. Il a rappelé cela dans le 1980' ; s les Etats-Unis employés pour fournir les mises à jour quotidiennes au sujet des mouvements soviétiques de bateau dans le méditerranéen, suggérant que ce genre de partage d'informations ait été un modèle approprié. Whalen a indiqué que le côté des USA chercherait à renforcer ce secteur.


-5. (c) Le JMC lui-même s'est poursuivi comme prévu, par le positif mais les échanges tout à fait généraux de la session plénière, avec des briefings plus détaillés dans les sous-comités sur l'aide de sécurité et sur la coopération militaire. (Note : Le compte rendu de ces sessions a été envoyé aux participants de PM/RSAT et de NEA/MAG.) USA a décrit les briefings tunisiens comme " ; plus prochain que jamais, " ; mais pas tout à fait atteignant toujours le niveau de la précision que le côté des USA exige pour des buts de la planification. Spécifiquement, les Tunisiens n'ont pas fourni un document de planification de cinq ans complet présentant en détail leurs priorités militaires d'aide et comment ils ont l'intention d'employer FMF et autres moyens pour les rencontrer.

6. (SBU) Accentue des sessions de fonctionnement incluses : -- Un briefing sur l'Army' tunisien ; premières priorités militaires d'aide de s, c.-à-d., armes légères, protection individuelle, NVDs, GPS, télémètres à laser, visant des dispositifs de point, HWMMW et abris, vitesse chimique, vitesse d'EOD, parachutes, et véhicules de servitude. -- Un briefing sur l'Armée de l'Air tunisienne ' ; priorités premières de s, c.-à-d., améliorant les moteurs F5 et T53 et la formation C130 pilote. La priorité secondaire a été accordée aux moteurs d'EDA C130H et de SH-60, de J85-21C pour les moteurs F5 et T56 pour C130, au soutien de l'UH-1, à la mise à niveau pour le C130B, à un simulateur d'UH-1H, et à la formation pilote initiale pour les cadets de graduation. -- Le côté tunisien également demandé en tant que vedettes côtières de classe de protecteur de la priorité première deux (ou équivalent 25 mètres), que les militaires tunisiens ont l'intention de compléter avec les deux vedettes côtières additionnelles par FY12. -- Le côté tunisien donné des instructions sur l'organisation médicale tunisienne, demandant l'aide des USA pour son unité de soins intensifs et unité de brûlure, aussi bien que dans le domaine de la physiologie aérospatiale. -- Le côté tunisien donné des instructions sur le military' ; développement de s/projet civils de technologie dans R' ; Jim Maatoug, sud localisé de Kebili. Tous les deux dans Morjane' ; le rapport plénier de s et dans le briefing plus détaillé dans le sous-comité de coopération militaire, le projet a été retardé comme modèle pour la coopération Nous-Tunisienne potentielle dans l'assistance humanitaire. Les USA dégrossissent franchise exprimée à considérer de futurs projets en même temps que le Ministère de la Défense tunisien le long des lignes du R' ; Projet de Jim Maatoug, que les Italiens ont aidé des fonds. -- Du côté des USA, les Tunisiens ont fait bon accueil au briefing sur le système pneumatique touché par aigle de balayage, notant qu'une enquête d'emplacement par le bureau de programme des USA serait exigée pour évaluer mieux des besoins en soutènement. Après que répété les demandes, les Tunisiens ont permis à une visite d'emplacement le long de la frontière Tunisien-Algérienne de passer en revue des aspects liés au déploiement de GSRs et d'UAV. Les Tunisiens ont été invités à observer en tant qu'élément d'AFRICOM' ; programme de s mil-mil la vipère de Mohave d'exercice de corps des marines des USA à 29 paumes formant le secteur en Californie les 1er-4 juin 2009 où l'usmc utilise l'UAV d'aigle de balayage en tant qu'élément de sa formation de predeployment. (Note : Les militaires tunisiens ont accepté cette offre le 20 mai, envoyant à l'ambassade les noms de deux dirigeants d'Armée de l'Air.)

7. (c) Bien que la session ait été productive, et le côté tunisien plus prochain qu'elle a été ces dernières années au sujet de ses priorités en ce qui concerne les besoins militaires d'aide, il y avait toujours une absence de précision dans certains des briefings tunisiens. En prochaines semaines, la mission passera en revue FMF et toute autre aide des USA ici à la lumière du JMC et d'autres développements dans des relations bilatérales Nous-Tunisiennes, y compris le futur de l'école coopérative américaine de Tunis. Commentaire de fin. 8. (SBU) Le DASD Whelan n'a pas eu une chance de dégager ce câble avant le poteau de départ. Veuillez visiter l'ambassade Tunis' ; Site Web classifié à : fm de http://www.state.sgov.gov/p/nea/tunis/index.c Godec Étiquettes : Al de financement militaire étranger de Kamel Morjane Chiheb Khelifa AQMI d'armée commune de la Commission militaire - qaeda Robert F. Godec Mohamed Meddeb Abdelkader Adouni
Les négociations obtenues d'offres sur l'école américaine, mais gifle ambassador' ; poignet de s pour le " ; Politicizing" ; l'issue le 27 novembre 2010 en-tête VZCZCXRO2970 d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 07:49 de 09TUNIS223 Date08/04/2009 OO RUEHDBU RUEHFL RUEHKW RUEHLA RUEHNP RUEHROV RUEHTRO DE RUEHTU #0223/01 0981949 ZNY SSSSS ZZH O 081949Z le 9 avril FM AMEMBASSY TUNIS À la PRIORITÉ COLLECTIVE COLLECTIVE POLITIQUE IMMÉDIATE 0231 PRIORITAIRE RUEHOT/AMEMBASSY OTTAWA PRIORITAIRE RUCNMGH/MAGHREB de l'INFORMATION RUEHZL/EUROPEAN de WASHINGTON D C de RUEHC/SECSTATE 6188 SECTION 01 de S contente la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T de 03 TUNIS 000223 NOFORN SIPDIS ÉTAT POUR NEA/FO - HUDSON ; NEA/MAG ; NEA/SCA/EX ; ÉTAT ÉGALEMENT POUR A/OPR/OS - CAMERON E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 04/08/2019 d'ÉTIQUETTES : ASCH, OFDP, PREL, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : NÉGOCIATIONS OBTENUES D'OFFRES SUR L'ÉCOLE AMÉRICAINE, MAIS CLAQUES AMBASSADOR' ; POIGNET DE S POUR LE " ; POLITICIZING" ; L'ISSUE Référence : TUNIS 217 ET PRÉCÉDENT Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)

1. (S/NF) Lors des réunions dos à dos au ministère étranger aujourd'hui l'ambassadeur a été donné une lettre de ministre des affaires étrangères Abdallah aux négociations de offre de NEA AA/S Feltman pour résoudre l'école coopérative américaine dans l'issue d'impôts de Tunis (ACST). La lettre a souligné qu'OBTENU veut maintenir des relations amicales avec les Etats-Unis et regarde l'issue de taxe scolaire comme question technique et fiscale. L'ambassadeur a fait bon accueil à cette ouverture et à la perspective des négociations, mais a demandé au MOF pour annuler le décret final d'impôts pour empêcher le school' ; fermeture de s. Ses interlocuteurs tunisiens étaient renvoyés au sujet de la date-limite de apparence vague du 23 mai pour le paiement, énonciation, " ; Personne ne veut clôturer le school." ; Sur son chemin de nouveau à l'ambassade, l'ambassadeur a été invité à retourner au ministère. Le Minister' ; l'aide spécial de s, Mohamed Lessir, qui avait été lors de la première rencontre, a réprimandé l'ambassadeur pour avoir politisé l'issue en entrant en contact avec plusieurs tiers, y compris les ambassadeurs de la banque pour le développement africain et d'Européen. Lessir a également pris l'issue que GRPO avait soulevé la matière d'ACST avec ses contacts de sécurité. L'ambassadeur a fermement rejeté l'affirmation que c'était les Etats-Unis qui avaient politisé l'issue. Il a expliqué que ses contacts avec les dépositaires principaux étaient seulement normaux, donné les écoles la fermeture obligatoire imminente. Le contenu de ces réunions représente la première indication claire qu'OBTENU est prêt à négocier. Nous devrions les prendre vers le haut sur leur offre, et rapidement. Nous avons expédié à NEA/MAG un projet de texte pour A/S de action Feltman. Résumé d'extrémité.
---------------------------------- Réponse de FM à la lettre d'AA/S Feltman ----------------------------------
2. (c) Le chef du personnel Mahmoud Khemiri de Ministère des Affaires Étrangères a sommé l'ambassadeur pour le deuxième jour dans une rangée pour discuter l'issue d'ACST. De nouveau accompagné de l'aide spécial au ministre et au directeur général de l'Europe Mohamed Lessir, aussi bien qu'Elyes Kasri, le directeur général des Amériques et de l'Asie, Khemiri a présenté une lettre de ministre des affaires étrangères Abdallah à AA/S Feltman, répondant à AA/S Feltman' ; lettre de s le 6 avril à l'Ambassadeur désigné Mansour à Washington. Le texte de la lettre arabe originale, avec Embassy' ; la traduction officieuse de s, ont été envoyées à NEA/MAG. Le FM' ; lettre de s : -- a souligné sur 200 ans de relations amicales les Etats-Unis et la Tunisie ont apprécié et remarquable qu'OBTENU est vif sur cette continuation d'amitié ; -- argué du fait que la question fiscale faite face par ACST est une fiscale et un " ; purement technical" ; publiez sans l'aspect politique, et la surprise remarquable cet AA/S Feltman' ; la lettre de s a fait référence aux impacts possibles sur les relations bilatérales, qui " ; ne peut pas être effectué par des ces l'issues" technique ; ; -- a exprimé la promptitude du OBTENU pour recevoir les jurisconsultes fiscaux et des Etats-Unis aussitôt que possible pour des discussions avec des autorités fiscales tunisiennes au sujet de l'issue d'ACST ; et -- confirmé qu'OBTENU est prêt pour que le dialogue recherche une solution au sujet du statut fiscal de l'école et le contrat de bail dans le cadre d'un accord qui clarifie les droits et devoirs de toutes les parties.

3. (c) L'ambassadeur a remercié le chef du personnel de la réponse, notant qu'il la transmettrait à Washington. Il a réitéré que les Etats-Unis se tiennent prêts à participer aux négociations avec OBTENU pour résoudre le problème. Il a souligné, cependant, que de telles négociations devraient avoir lieu dans le cadre des discussions pour clarifier le school' ; statut de s, et avec une appréciation de 50 ans d'échanges et de pratique diplomatiques concernant l'école. En outre, le ministère de finances devrait, comme étape préliminaire, annuler son décret final unilatéral d'impôts. Toutes ces issues ont pu être TUNIS 00000223 002 DE 003 pris -- et résolu amicablement -- dans le cadre des négations bilatérales.
-------------- Quelle date-limite ? --------------
4. (c) Lessir a demandé si ACST a prévu d'exercer sa droite de poursuivre OBTENU. L'ambassadeur s'est opposé, notant que l'école pèse toujours ses options. L'ambassadeur a réitéré cependant, cet ACST ne pourra pas fournir même approximativement 4 millions de dinars tunisiens que le MOF a indiqués n'est pas sujet au renvoi dans le cas d'un costume légal. Lessir était renvoyé au sujet de la date-limite de apparence vague, notant qu'il y a " ; plusieurs weeks" ; avant le 23 mai. L'ambassadeur a précisé qu'OBTENU aurait l'autorité légale pour padlock la propriété et pour saisir tous les objets de valeur dans le cas du commencement de non-paiement le 23 mai.
------- Prenez II -------
5. (S/NF) Pendant que l'ambassadeur était sur son chemin de nouveau à l'ambassade, il a reçu un appel téléphonique pressant pour retourner au ministère d'une réunion avec le ministre des affaires étrangères. Pendant qu'elle s'avérait, la deuxième réunion était avec Lessir, qui exécutait clairement sur l'instruction du ministre. Lessir, adoptant une tonalité très sérieuse, a indiqué que l'information a eu le " ; venez au Ministry' ; attention" de s ; suggérant que l'ambassadeur ait été en contact avec la banque pour le développement africain, d'autres ambassadeurs, et parents des écoliers d'ACST. Il a réprimandé l'ambassadeur pour ces contacts, notant que l'ambassadeur allemand l'avait déjà appelé pour faire un " ; urgent" ; intervention sur cette question. Lessir a également exprimé le mécontentement au-dessus du fait que GRPO avait soulevé la question d'ACST avec des contacts de sécurité. Ces actes étaient malheureux, Lessir a indiqué, et a constitué la politisation de ce qui était un " ; purement technical" ; issue. Ceci devrait avoir été un dernier recours dit-il et we' ; re pas encore au moment où le dernier recours. Le GOT' ; les portes de s étaient toujours ouvertes, il suite. " ; Nous aurions préféré avoir gardé ces discussions entre us."
; ----------- Pourquoi ? Pourquoi ? ? -----------
6. (c) Lessir l'a indiqué couldn' ; t comprennent pourquoi les Etats-Unis prennent la discussion au " de tiers ; Dites-juste moi pourquoi, " ; Lessir a imploré, nettement. L'ambassadeur a renversé les rôles sur Lessir, énonciation, " ; Dites-juste moi pourquoi, quand il y a tant de communications entre l'ambassade et OBTENUS sur l'école, y compris une note 1984 diplomatique d'AMF spécifiant ce teachers' ; les salaires ne sont pas sujets à l'impôt, pourquoi fait ce moyen rien ? " ;
------------ Aucun blâme ici -------------
7. (c) L'ambassadeur était convaincu pour ses consultations avec les dépositaires principaux dans ACST. Il a rappelé Lessir que l'école faisait face à la fermeture obligatoire imminente, dû à son incapacité de payer même l'acompte des arriérés évalués pour le 23 mai. Face à cette épée de Damocles, l'école -- et l'USG -- n'a eu aucun choix mais pour se préparer au scénario de pire cas -- la fermeture obligatoire de l'école. Elle aurait été irresponsable pour ne pas avoir consulté les dépositaires principaux. L'ambassadeur a conseillé Lessir que les consultations avec des parents n'ont pas encore eu lieu, mais que beaucoup se rendent déjà compte de la situation ; une réunion générale est prévue pour le vendredi 17 avril. L'ambassadeur Lessir' également rejeté ; affirmation de s que les Etats-Unis avaient politisé l'issue. Malgré le GOT' ; les protestations de s que l'issue d'impôts était une question technique, il a compromis l'existence même d'ACST, qui lui a fait un sujet politique pour nous. L'ambassadeur a précisé que dans tout l'habillage de cette crise, il avait à plusieurs reprises fait clairement à ses interlocuteurs tunisiens qu'elles provoquaient une crise
. ----------------------------- Information des ambassadeurs européens -----------------------------
8. (c) Après les réunions d'AMF, l'ambassadeur a informé l'Allemand et plusieurs autres ambassadeurs d'UE du nouveau TUNIS 00000223 003 DE 003 développements. Tous ont fait bon accueil à la possibilité de progrès, mais ont convenu que nous devons (collectivement) garder la pression sur OBTENU pour résoudre le problème d'ACST une fois pour toutes. ------- Commentaire ------- 9. (c) Lessir' ; l'exécution théâtrale de s, tandis que pénible, est évidence que nos actions à Washington et à Tunis ont finalement le GOT' ; attention de s. D'ailleurs, en tant qu'ambassadeur remarquable lors de sa deuxième réunion avec Lessir, Abdallah' ; la lettre de s représente la première indication claire qu'OBTENU est disposé à être en pourparlers avec le but de résoudre cette matière d'une mode mutuellement agréable. Nous devrions prendre eux vers le haut sur cette offre, mais le bâton à la condition que les MOF annulent d'abord le décret final d'impôts. Le poteau transmettra à la langue recommandée par NEA/MAG pour une réponse à la lettre d'Abdallah. Commentaire de fin. Veuillez visiter l'ambassade Tunis' ; Site Web classifié à : fm de http://www.state.sgov.gov/p/nea/tunis/index.c Godec Étiquettes : Corruption américaine Leila Trabelsi de Mohamed Lessir de diplomatie de ministère étranger d'Abdalwahab Abdallah Mahmoud Khemiri Jeffrey Feltman d'école de Robert F. Godec
CICR : Traitement des prisonniers dans des équipements de Ministère de l'Intérieur un souci le 27 novembre 2010 en-tête P 181758Z le 9 juin d'OriginEmbassy Tunis ClassificationSECRET//NOFORN de 05:58 de 09TUNIS399 Date18/06/2009 FM AMEMBASSY TUNIS AU MINISTÈRE DE LA JUSTICE COLLECTIF PRIORITAIRE DE WASHINGTON D C PRIORITAIRE NSC D'INFORMATION LE MAGHREB PRIORITAIRE 6455 DE WASHINGTON D C DE SECSTATE LA PRIORITÉ DE WASHINGTON DC PRIORITAIRE SECDEF DE WASHINGTON D C S content la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE R E T TUNIS 000399 NOFORN ÉTAT POUR NEA/MAG (SWILLIAMS, MHAYES, JPATTERSON) DRL : KMCGEENEY, S/WCI : ARICCI DOD/OSD : ALIOTTA, DOJ/ODAG : MSTRANSKY E.O. 12958 : DÉCLASSEMENT : 08/30/2028 d'ÉTIQUETTES : PHUM, PREL, PTER, KDRG, SUJET DE SOLIDES TOTAUX : CICR : TRAITEMENT DES PRISONNIERS DANS DES ÉQUIPEMENTS DE MOI UN SOUCI Classifié par : L'Ambassadeur Robert F. Godec pour les raisons 1.4 (b) et (d)
------ Résumé -------
1. (S/NF) Le délégué régional Yves Arnoldy du Comité international de Croix-Rouge (CICR) a dit l'ambassadeur ICRC que les priorités en Tunisie surchargent en général et traitement des prisonniers dans des équipements de MOI. Le CICR a de bonnes relations de travail avec le ministère de la justice, mais le Ministère de l'Intérieur prendra plus de temps. Il a confirmé que le CICR a accès à certains les équipements annoncés de MOI et essayait d'obtenir des informations sur les équipements non communiqués. Il a également dit, si offert la chance d'émettre une recommandation au sujet du transfert des détenus tunisiens tenus à Guantanamo de nouveau à la Tunisie qu'il, le " ; ne voudrait pas être dans l'Ambassador' ; s place." ;
Résumé d'extrémité. --------------------- Détenus de Guantanamo ---------------------

2. (s) L'ambassadeur rencontré récemment avec le délégué Yves Arnoldy de CICR pour obtenir une mise à jour sur l'organization' ; activités de s en Tunisie et la région.

3. (S/NF) Discussion du service de détention de Guantanamo, le Président soumis à une contrainte par ambassadeur Obama' ; intention de s de fermer le service vers la fin de l'année. Il a dit que la question de transférer les détenus tunisiens de nouveau à la Tunisie était à l'étude à Washington et demandé quel Arnoldy recommanderait s'il avait l'occasion. Arnoldy a répondu, oblique disant, c'était une décision et lui difficiles " ; ne voudrait pas être dans l'Ambassador' ; s place." ; Il a demandé à être maintenu au courant au sujet du statut de tous les cessionnaires potentiels parce que le CICR est en contact avec leurs familles en Tunisie et les maintiendra au courant. Le CICR examinera également des possibilités de communication visuelle bientôt pour améliorer toujours des communications entre les détenus à Guantanamo et leurs familles.
--------------- Activités de CICR ---------------
4. (S/NF) Arnoldy a indiqué que le CICR est concentré sur le long terme en Tunisie. Il a été seulement permis l'accès aux prisonniers en 2005. C'est une question de établir la confiance, qui prend du temps, mais les relations ont atteint, " ; niveau intéressant avec la terre pleine pour le développement en particulier avec le ministère de Justice." ; Le CICR a deux voies que cela fonctionne dessus, surchargeant généralement et traitement des prisonniers dans les équipements sous la commande de MOI. ------------------ Relations avec MOJ ------------------


5. (S/NF) Arnoldy a indiqué que les relations de CICR avec le ministère de la justice sont coopératives. Il a eu le contact direct toutes les fois qu'il a eu besoin de lui avec ses interlocuteurs jusqu'au ministre, et il y avait les signes clairs de la volonté politique de coopérer aux inspections de prison. Le MOJ est prêt à tirer profit des ressources que le CICR doit offrir et devient intéressé dans un dialogue sur des questions plus larges de justice. Il pourrait voir des possibilités pour développer des activités avec le MOJ au delà juste du traitement des prisonniers à un niveau plus stratégique et plus structural, y compris la formation du personnel et l'échange des idées avec d'autres systèmes nationaux. Une fois demandé par l'ambassadeur s'il pourrait confirmer si le MOI avait accès aux prisonniers tenus dans des équipements de MOJ qu'il a dits qu'il ne pourrait ajouter aucune information à ceci, mais d'autre part supplémentaire, que certains ministères ont la capacité d'affecter le système de MOJ. ------------------- Relations avec MOI -------------------

6. (S/NF) Arnoldy a caractérisé des relations de CICR avec le MOI comme " ; avoir besoin d'improvement." ; Le CICR adopte une approche étape-par-étape et le niveau du dialogue a progressé depuis le commencement. Cependant, le traitement changeant est une issue à long terme qui nécessitera des changements du MOJ' ; attitude et " de s ; mentality." ; Le CICR cherche à améliorer le dialogue et à développer la base pour ajouter plus de substance. Arnoldy a confirmé que le CICR a accès au " ; notified" ; Les équipements de MOI et essayaient d'obtenir des informations sur le " ; non-notified" ; équipements.
---------------------- Relations avec l'AMF ----------------------
7. (c) Arnoldy a indiqué qu'il doit double voie ses demandes de réunion avec le ministère de la justice par l'intermédiaire de la note diplomatique à l'AMF cependant que l'AMF ne bloque pas ou ne retarde pas ses demandes. Il a noté que son rapport avec l'AMF avait diminué légèrement après le départ de Hatem Ben Salim qui était le secrétaire d'état pour des affaires européennes jusqu'en 2008. ------------------------ Rapports d'O.N.G. de traitement ------------------------ 8. (S/NF) L'ambassadeur a demandé Arnoldy son impression de la fiabilité d'information sur le traitement des prisonniers fournis par NGOs et d'autres sans accès direct aux prisonniers. Il a demandé si le CICR remettait en cause leurs rapports publics au sujet de traitement. Arnoldy a indiqué, il est difficile pour des O.N.G.s et d'autres pour savoir exactement ce qui se produit et le troisième approvisonnement de main ont ses problèmes. Pas tout qu'ils disent est précis, mais c'est une source d'information. Ils lui donnent souvent les bouts qu'il peut suivi dessus ou vérifier et parfois ils ont de bonnes sources, particulièrement par le contact avec prisoners' ; familles.
------------------ Activités régionales ------------------
9. (S/NF) L'ambassadeur a demandé une vue d'ensemble du CICR office' ; activités régionales de s, dont Arnoldy est responsable, en bref : -- La Libye - les relations sont difficiles. Arnoldy a une difficulté visiter la Libye en raison de son passeport suisse et les relations tendues entre la Libye et la Suisse. Le CICR dépend du personnel tunisien allant en Libye ou des Libyens venant en Tunisie. -- La Mauritanie - Le CICR a signé un accord de sièges sociaux avec la Mauritanie améliorant leur statut à une mission mais le bureau répondra toujours au bureau de Tunis. Il y a approximativement 1.200 prisonniers en Mauritanie. -- Le Maroc - le CICR a une présence au Maroc mais n'a pas n'importe quel statut diplomatique. Par conséquent le bureau du Maroc se concentre sur des questions de loi d'humanitaire international. Le reste d'activités de CICR sont manipulés par le bureau de Tunis. Le Maroc est le plus grand dossier dans la région, principalement les individus concernés qui " ; disappeared" ; en raison du conflit de la Sahara occidental. Le CICR discute améliorant son statut avec le gouvernement du Maroc, il est juste une question de temps. Quand ils concluent un accord, le CICR ouvrira probablement plusieurs bureaux au Maroc qui ne dépendra pas du bureau de Tunis.
10. (u) Arnoldy a exprimé l'ICRC' ; appréciation de s pour le soutien d'USG de l'organisation. Le CICR dépend des donateurs pour la soutenir ainsi il peut réagir rapidement dans une crise et ne pas attendre jusqu'à ce qu'il ait confirmé le placement avant d'agir
.
11. (S/NF) Arnoldy était aussi franc qu'il pourrait être donné la politique de confidentialité du CICR. Il était clair qu'il n'ait pas été positif au sujet des conditions de prison dans les équipements de MOI ni au sujet du MOI' ; attitude de s envers la coopération avec le CICR. Il a dit cependant, du ce progrès avait été fait dans le dialogue d'ICRC-MOI mais cela cela prendrait du temps. Étant donné que le CICR est la seule organisation internationale avec l'accès fiable aux prisons, nous devons donner le poids à leurs commentaires, même si énigmatiques. Godec

En exclusivité, une partie des documents secrets qui concernent la Tunisie dévoilés par Wikileaks

Le site qui a déjà été à l'origine de la fuite de milliers de documents sur l'engagement américain en Irak et en Afghanistan. Les documents sont issus du réseau SIPRNet (Secret Internet Protocol Router Network) de l’administration américaine utilisé pour la transmission de mémos diplomatiques et autres documents secrets. Tous les documents relatifs à la Tunisie sont classés secrets : (Classification SECRET//NOFORN). « Noforn », qui est une restriction supplémentaire, signifie « Not releasable to Foreign Nationals », autrement dit « non diffusable aux étrangers ».

Cette première partie, que nous avons nommée TuniLeaks, est composée de 17 documents qui révèlent la teneur des échanges entre l’ambassade US en Tunisie et le département des Affaires étrangères américain. Lesdits rapports sont relativement récents et ont été transmis entre le 28 Mai 2008 et le 9 février 2010. Parmi les 17 rapports, 2 sont rédigés par l'actuel ambassadeur des États-Unis d'Amérique à Tunis Gordon Gray, et 15 par son prédécesseur. Cette première partie de câbles diplomatiques entre l'ambassade US à Tunis et Washington sera suivie par d'autres parties que nous publierons au fur et à mesure.

Il est important ici de signaler qu’il s’agit donc des câbles du pouvoir civil par opposition aux instances militaires. Pour le cas des documents auxquels nous avons eu accès, en l’occurrence ceux concernant la Tunisie, il est frappant de relever la place des préoccupations américaines relatives aux droits de l’Homme. Ce qui pour nous a été une surprise, d’autant plus qu’il ne s’agit pas de communiqués publics destinés à calmer des ONG, mais des échanges privés entre des diplomates. Sans aucun doute, l'ensemble des documents mis en ligne par Wikileaks révélera-t-il, s'agissant d'autres pays, des éléments qui heurtent des principes de droit de l'Homme. Mais pour le cas de la Tunisie, cela ne semble pas avoir été le cas au sein des documents dont nous avons disposés.

Nos premières appréciations sur le contenu sont des appréciations à chaud. Mais nous aurons l’occasion de revenir dessus après plusieurs lectures approfondies, seules à même de permettre de saisir des détails qui pourraient sembler anodins à première vue.

Il serait trop long de revenir sur tous les éléments évoqués par ces documents dans cette présentation. Néanmoins, nous avons retenu quelques aspects qui ont accroché les membres de l’équipe, notamment les préoccupations américaines relatives aux droits de l’Homme (I), la perception des US de la pratique du pouvoir en Tunisie (II), le profil de certaines personnalités (III) et l’aspect troublant de quelques éléments dont on ne trouve quasiment pas de traces dans ces mêmes documents (IV).

I. - Les préoccupations américaines des questions relatives aux droits de l’Homme

C’est sans doute l’un des aspects les plus surprenants que l’on découvre au sein de ces documents. Tant et si bien, qu’il n’est pas exagéré de dire que le premier bénéficiaire de cette fuite, ce sont les USA. D’où, d’ailleurs, le fait d’envisager toutes les éventualités concernant l’origine de la fuite.

, nous ne nous sommes jamais privés de dénoncer les connivences de l’administration américaine avec les responsables Tunisiens et (Arabes en général) en matière de violation des droits de l’Homme. Or, ces documents montrent que les choses ne sont pas aussi simples et que leur souci quant au respect des droits de l’Homme en Tunisie est réel, tout comme les pressions diplomatiques en ce sens. Si en de nombreux endroits, il est question de conditionner certaines aides au regard des avancés en terme de libéralisation politique, les choses deviennent surprenantes quand on lit qu’il est même envisagé de reconsidérer les aides militaires par rapport à ce critère.

En briefant le secrétaire d'État lors d’une visite en Tunisie, l’ambassade indique:

« Dans nos contacts avec les responsables tunisiens, ils [les Tunisiens] soulignent nos liens solides de plus de 200 ans. Mais ils ne dépassent rarement le cap du général vers le particulier. Votre visite est une occasion d'indiquer clairement qu'il est possible d'aller plus loin. Si la Tunisie est prête à s'ouvrir et à faire davantage sur les questions qui préoccupent les États-Unis, comme par exemple, les défis régionaux et/ou la libéralisation politique, nous sommes prêts à chercher des moyens d'approfondir nos relations. »

« In our contacts with Tunisian officials, they [Tunisians] emphasize our strong ties of over 200 years. But they rarely move from the general to the specific. Your visit is an opportunity to make clear that more is possible. If Tunisia is prepared to open up and do more on issues of concern to the United States, e.g., regional challenges and/or political liberalization, we are prepared to look for ways to deepen our relationship. » (VZCZCXRO1905 sec.18)

Sur un autre document, on découvre qu’il est même question de faire pression au niveau des partenaires européens pour faire avancer les choses sur ce terrain. Dans le document « VZCZCXRO0363, sec.9 » on y apprend :

« Nous recommandons d'être explicite avec les dirigeants du gouvernement tunisien [GT] que nous changeons notre approche, tout en indiquant clairement que nous allons continuer à s'engager en privé avec les partis d'opposition et la société civile. En outre, nous devons accroître nos efforts pour convaincre nos partenaires européens, et d'autres pays aux vues similaires, à intensifier leurs efforts pour persuader le GT d'accélérer la réforme politique. Si certains membres de l'UE (par exemple l’Allemagne, le Royaume-Uni) sont d'accord avec nous, les grands pays comme la France et l'Italie ont hésité à faire pression sur le GT. Nous devons travailler à les amener à le faire, et à faire de ce sujet une condition pour les collaborations futures et pour l’accession au statut-avancées avec l'UE. »











« We recommend being explicit with Government Of Tunisia [GOT] leaders that we are changing our approach, while also making clear that we will continue to engage privately with opposition parties and civil society. In addition, we should increase our efforts to persuade our European partners, and other like-minded countries, to step up their efforts to persuade the GOT to accelerate political reform. While some in the EU (e.g., Germany, the UK) agree with us, key countries such as France and Italy have shied from putting pressure on the GOT. We should work to get them to do so, and to condition further assistance and advanced EU associate status on it. »

II. - L’image de Ben Ali et la perception de la pratique du pouvoir en Tunisie

On ne s’étonnera pas d’apprendre que la considération de la personne de Ben Ali est à la hauteur du caractère despotique de son pouvoir. Certains passages, notamment ceux du doc. VZCZCXRO0363 sont sans appel.

« Trop souvent, le gouvernement tunisien préfère l'illusion de l'engagement au travail sérieux pour une réelle coopération. Le changement majeur en Tunisie devra attendre le départ de Ben Ali, [...] La Tunisie a de gros problèmes. Le Président Ben Ali est vieillissant, son régime est sclérosé et il n'y a pas de successeur évident. De nombreux Tunisiens sont frustrés par le manque de libertés politiques et éprouvent de la colère envers la famille présidentielle, la corruption, le chômage élevé et les inégalités régionales. L'extrémisme fait peser une menace permanente. [...] La Tunisie est un État policier, avec peu de liberté d'expression et d'association, et de graves problèmes de droits humains. [...] Pour chaque pas en avant, il y en a un autre en arrière, par exemple le récent rachat d'importants médias privés par des personnes proches du président Ben Ali.

[Ben Ali] et son régime ont perdu le contact avec le peuple tunisien. Ils ne tolèrent pas de conseils ou de critiques, nationales fussent-elles ou internationales. Ils s'appuient de plus en plus sur le contrôle par la police et se concentre sur la préservation du pouvoir. La corruption dans les premiers cercles s'accentue. Même les Tunisiens moyens sont à présent très conscients de cela, et les voix de leurs plaintes s’amplifient [...]. Les Tunisiens vraiment n’aiment pas, voire éprouve de la haine envers la première dame Leila Trabelsi et sa famille. En privé, les opposants au régime se moquent d'elle. Même dans les cercles proches du pouvoir on y exprime la consternation face à ses frasques. Entre temps, la colère s'intensifie face au taux de chômage qui grimpe et les inégalités régionales. En conséquence, les risques pour la stabilité à long terme du régime sont en augmentation. »

« Too often, the Government Of Tunisia prefers the illusion of engagement to the hard work of real cooperation. Major change in Tunisia will have to wait for Ben Ali's departure, […] Tunisia has big problems. President Ben Ali is aging, his regime is sclerotic and there is no clear successor. Many Tunisians are frustrated by the lack of political freedom and angered by First Family corruption, high unemployment and regional inequities. Extremism poses a continuing threat. […] Tunisia is a police state, with little freedom of expression or association, and serious human rights problems. [...] for every step forward there has been another back, for example the recent takeover of important private media outlets by individuals close to President Ben Ali.

[Ben Ali] and his regime have lost touch with the Tunisian people. They tolerate no advice or criticism, whether domestic or international. Increasingly, they rely on the police for control and focus on preserving power. And, corruption in the inner circle is growing. Even average Tunisians are now keenly aware of it, and the chorus of complaints is rising […]. Tunisians intensely dislike, even hate, First Lady Leila Trabelsi and her family. In private, regime opponents mock her; even those close to the government express dismay at her reported behavior. Meanwhile, anger is growing at Tunisia's high unemployment and regional inequities. As a consequence, the risks to the regime's long-term stability are increasing. » VZCZCXRO0363, sec.1, 6 et 7.

Et ailleurs, on y lit également :

« Il n'y a aucune chance pour que les élections soient libres et régulières. La liberté d'expression et la liberté d'association sont sévèrement limitées. Et on ne permet pas aux partis d'opposition indépendants de fonctionner effectivement. »

« There is no chance the elections will be free or fair; freedom of expression and freedom of association are severely constrained, and independent opposition parties are not allowed to operate effectively. » VZCZCXRO1905, sec.6

Par ailleurs, certains événements semblent avoir eu un impact particulièrement négatif sur l’appréciation du régime tunisien. L’épisode de la nomination d’une « incompétente » à la tête de la Banque de Tunisie (qui est au demeurant l’épouse de Abdelwaheb Abdallah) tout en débarquant le très compétent Faouzi Bel Kahia « un banquier très respecté qui a occupé le poste pendant 16 ans » (« highly respected banker who held the post for 16 years » VZCZCXRO4879) paraît avoir laissé de sérieuses traces. De même, la gestion catastrophique du « problème » fiscal de l’« American Cooperative School of Tunis » fut très préjudiciable aux intérêts nationaux. Les termes que l’on découvre dans le document VZCZCXRO0363 sec. 9, du 17 juillet 2009 sont très significatifs :

« Le plus troublant fut l’effort unilatéral et maladroit du gouvernement tunisien d'imposer de nouvelles taxes rétroactives à l'American cooperative School of Tunis. Il ne fait aucun doute que cette action a été à l'initiative d'amis puissants (y compris sans doute Leila Trabelsi) de l'Ecole Internationale de Carthage. Cela soulève d'importantes questions sur la gouvernance tunisienne et nos amitiés réciproques. Si, en fin de compte, les actions du GT obligent l'école à fermer, nous aurons besoin de réduire les effectifs de la Mission, limiter nos programmes et réduire nos relations. »

« Most troubling has been the [Government of Tunisia’s] unilateral and clumsy effort to impose new and retroactive taxes on the American Cooperative School of Tunis. There is little doubt that this action was at the behest of powerful friends (probably including Leila Trabelsi) of the International School of Carthage. It raises important questions about Tunisian governance and our friendship. If, in the end, the GOT's actions force the school to close we will need to downsize the Mission, limit our programs, and dial down our relations. »

Enfin, la gestion du rapatriement des anciens détenus Tunisiens de Guantanamo semble avoir été désastreuse de la part des Tunisiens. Le manquement à la parole donnée (au niveau des assurances tunisiennes quant au respect des droits fondamentaux des rapatriés) a particulièrement exaspéré les Américains.

III. - Abdelwaheb Abdallah, Kamel Morjane et Sakhr el Matri.

Au niveau des ministres Tunisiens des affaires étrangères, le moins que l’on puisse dire, c’est que Abdelwaheb Abdallah n’a pas été en odeur de sainteté auprès des américains.

«[Abdelwaheb Abdallah] est connu pour ouvrir ses rencontres avec des monologues interminables sur des positions politiques, sociales et économiques, les réussites et les positions modérées de la Tunisie sur les questions régionales. C'est le discours qu’Abdallah lui-même a conçu pendant ses années en tant que conseiller du président, chargé du contrôle des médias nationaux et internationaux. Pendant son mandat de trois ans comme ministre des Affaires étrangères, Abdallah a maintenu une influence notable - si ce n'est un contrôle - sur les médias locaux » [...]« Par exemple, Abdallah me convoqua pour exprimer son «dégoût» de la condamnation de la Tunisie pour son traitement des journalistes, par le président Bush lors du 1er mai, journée mondiale pour la Liberté de la Presse. Mais les difficultés sont aussi le résultat des contrôles imposés par le ministère des Affaires étrangères. Ces contrôles limitent la capacité de l'Ambassade de s'engager avec d'autres organismes, et avec les universités, les organisations professionnelles et syndicales du pays » (VZCZCXRO1905, sec.8)

« [Abdelwaheb Abdallah] has been known to open his meetings with lengthy soliloquies about Tunisia's political, social, and economic successes and moderate positions on regional issues. This is the spin that Abdallah himself crafted during his years as Presidential Advisor responsible for domestic media control and international media spin. During his three-year tenure as Foreign Minister, Abdallah has maintained significant influence -- if not control -- over the local media” […] “For example, Abdallah convoked me to express his "disgust" that Tunisia was condemned for its treatment of journalists in President Bush's May 1 statement on World Press Freedom. But the difficulties are also the result of the controls imposed by the Ministry of Foreign Affairs. These controls limit the Embassy's ability to engage with other agencies, and with universities, business organizations and even the country's labor union” (VZCZCXRO1905, sec.8).

Ailleurs, on y apprend :

« Nous avons été bloqués, en partie, par le ministère des Affaires étrangères qui vise à contrôler l'ensemble de nos contacts avec le gouvernement et de nombreuses autres organisations. »

«We have been blocked, in part, by a Foreign Ministry that seeks to control all our contacts in the government and many other organizations.”(VZCZCXRO0363, sec.2).»

En revanche, s’agissant de l’actuel ministre des Affaires étrangères Kamel Morjane, celui-ci semble jouir d’une relative estime de la part de la diplomatie américaine. Il est du reste dépeint comme celui qui a cherché à limiter les dégâts de son prédécesseur.

On notera également de longs passages concernant Sakhr El Matri, lesquels, entre autres révèlent cette promiscuité si malsaine entre les affaires et la politique. On retiendra cette anecdote, très révélatrice, qui a eu lieu à l’ambassade US où l’en passe du politique aux affaires d’El Matri sans la moindre pudeur. Celui qui aspire à obtenir une franchise McDonald en Tunisie se voit rétorquer par l’ambassadeur US que ceci nécessite des autorisations légales (de la part de l’administration tunisienne). Réponse d’El Matri : « ceci n’est pas un problème ». Et pour cause !

Voici le passage en question :

« El-Matri a aussi exprimé son intérêt pour l'ouverture d'une franchise de restaurant McDonalds. Lorsque l'ambassadeur a déclaré que les entreprises américaines avaient besoin d'une législation sur les franchises avant d'investir, il a répondu: "cela n'est pas un problème", et a suggéré que la première franchise pourrait s’ouvrir dans le port pour bateaux de croisières qu’il développe à La Goulette. »

« El-Matri also expressed interest in opening a McDonalds restaurant franchise. When the Ambassador said US companies needed a franchise law before investing, he responded, "that would not be a problem," and suggested a likely first option would be to open a franchise in the new cruise port he is developing in La Goulette. » (VZCZCXYZ0008, sec.3).

Au demeurant, le contenu de ce document donnera de la matière à gloser à nos deux experts nationaux en « science des agendas » ; en l’occurrence Borhène Bsaïs et Boubaker Sghaïr. Sûrement, ils ne manqueront pas de reprendre les longs passages concernant Sakhr El Matri pour nous parler de son agenda lorsqu’il franchit le pas de l’ambassade US. Nos deux « messieurs agenda », aux compétences reconnues en la matière, nous ont habitués à ne louper aucune occasion pour discourir sur leur thème favori « ambassade et agenda ».

IV.- Les Silences troublants

Parmi les éléments les plus troublants, du moins concernant les documents que nous avons examinés, c’est cette absence flagrante des forces démocratiques tunisiennes au niveau des échanges entre l’ambassade US et le département d’Etat. L’opposition démocratique est mentionnée à deux ou trois reprises, mais c’est presque d’une manière collatérale, voire accidentelle. Et ce qui est d’autant plus troublant, c’est que malgré le fait que la diplomatie américaine n’attend que le départ de Ben Ali pour observer un réel changement « Tout changement majeur en Tunisie devra attendre le départ de Ben Ali » (« Major change in Tunisia will have to wait for Ben Ali's departure »), l’opposition démocratique dans ce contexte n’incarne ni une alternative sérieuse ni même une force politique avec laquelle il serait utile d’avoir des rapports étroits.

Il faut dire que cela confirme ce que nous avons par le passé, et qui incarne à nos yeux un réel problème tunisien. « Que cette opposition devienne tellement insignifiante, tellement inexistante au regard des gouvernements alliés de la Tunisie [avons-nous eu l’occasion d’écrire] est difficile à avaler. […] On ne devient pas une opposition qui incarne le changement démocratique en le proclamant, mais par la capacité, d’une part, à convaincre et à entraîner l’opinion publique en ce sens et, d’autre part, à gagner par ce biais la crédibilité des partenaires de la Tunisie quant au changement que l’on promet. »

Juxtaposer cette non-considération des forces démocratiques tunisiennes avec les considérations réelles au niveau des questions des droits de l’homme en Tunisie par une nation étrangère, laquelle se met en position de protéger les Tunisiens sur leur propre territoire, a de quoi empêcher de dormir beaucoup de Tunisiens. Quand on songe à la défaillance indigne du gouvernement tunisien à s’enquérir du respect des garanties et droits fondamentaux des Tunisiens détenus à Guantanamo, C’est déjà très grave. Mais qu’ensuite les anciens geôliers de ces Tunisiens se retrouvent eux-mêmes dans la peau de ceux qui se démènent pour garantir leurs droits fondamentaux et leur intégrité physique en Tunisie ; cela frôle l’insupportable pour quiconque accorde un minimum d’honneur à la citoyenneté tunisienne et des droits qui s'y rattachent ! Et c’est face à de tels faits que l’on se demande comment des ministres, des parlementaires, des magistrats et des hommes politiques tunisiens peuvent se regarder dans la glace le matin. Que l'on soit très clair, que les Américains se démènent pour garantir la sécurité de ceux qui on subit les affres de Guantanamo, c'est la moindre des choses pour restaurer leur honneur. En revanche, pour nous Tunisiens, faisons-nous assez pour justement réhabiliter cet honneur qui devrait être celui de nos institutions républicaines dont la finalité ULTIME, faut-il le rappeler, est de garantir les droits fondamentaux du citoyen ?

Au fond, les magouilles affairistes et politiques d'El Matri, A. Abdallah ou des Trabelsi sont tellement secondaires, sinon une conséquence logique de l'altération de ce qui est autrement plus fondamental : la place et le statut de la citoyenneté tunisienne au sein des institutions de la République. Aurions-nous su les défendre bec et ongle, ces institutions, depuis 1987, l'opposition démocratique en tête et nous n'en serions sûrement pas là aujourd'hui.

Enfin à chacun de lire, de se faire une idée et donner du sens aux faits mentionnés. Le débat est ouvert. Ce qui est certain en tout cas, c’est que la transparence aura toujours du bon.

Nous reviendrons sur ces documents, y compris sur d'autres dès que nous en disposerons. Nous les mettrons en forme, les classerons en catégorie et les taguons pour en faciliter la l'accès ... d'ici là, bonne lecture.

Pour suivre les nouvelles sur ce sujet, retrouvez-nous sur ce site dédié https://tunileaks.appspot.com en exclusivité, une partie des documents secrets qui concernent la Tunisie dévoilés par Wikileaks. Le site qui a déjà été à l'origine de la fuite de milliers de documents sur l'engagement américain en Irak et en Afghanistan. Les documents sont issus du réseau SIPRNet (Secret Internet Protocol Router Network) de l’administration américaine utilisé pour la transmission de mémos diplomatiques et autres documents secrets. Tous les documents relatifs à la Tunisie sont classés secrets : (Classification SECRET//NOFORN). « Noforn », qui est une restriction supplémentaire, signifie « Not releasable to Foreign Nationals », autrement dit « non diffusable aux étrangers ».

Cette première partie, que nous avons nommée TuniLeaks, est composée de 17 documents qui révèlent la teneur des échanges entre l’ambassade US en Tunisie et le département des Affaires étrangères américain. Lesdits rapports sont relativement récents et ont été transmis entre le 28 Mai 2008 et le 9 février 2010. Parmi les 17 rapports, 2 sont rédigés par l'actuel ambassadeur des États-Unis d'Amérique à Tunis Gordon Gray, et 15 par son prédécesseur. Cette première partie de câbles diplomatiques entre l'ambassade US à Tunis et Washington sera suivie par d'autres parties que nous publierons au fur et à mesure.

Il est important ici de signaler qu’il s’agit donc des câbles du pouvoir civil par opposition aux instances militaires. Pour le cas des documents auxquels nous avons eu accès, en l’occurrence ceux concernant la Tunisie, il est frappant de relever la place des préoccupations américaines relatives aux droits de l’Homme. Ce qui pour nous a été une surprise, d’autant plus qu’il ne s’agit pas de communiqués publics destinés à calmer des ONG, mais des échanges privés entre des diplomates. Sans aucun doute, l'ensemble des documents mis en ligne par Wikileaks révélera-t-il, s'agissant d'autres pays, des éléments qui heurtent des principes de droit de l'Homme. Mais pour le cas de la Tunisie, cela ne semble pas avoir été le cas au sein des documents dont nous avons disposés.

Nos premières appréciations sur le contenu sont des appréciations à chaud. Mais nous aurons l’occasion de revenir dessus après plusieurs lectures approfondies, seules à même de permettre de saisir des détails qui pourraient sembler anodins à première vue.

Il serait trop long de revenir sur tous les éléments évoqués par ces documents dans cette présentation. Néanmoins, nous avons retenu quelques aspects qui ont accroché les membres de l’équipe de Nawaat, notamment les préoccupations américaines relatives aux droits de l’Homme (I), la perception des US de la pratique du pouvoir en Tunisie (II), le profil de certaines personnalités (III) et l’aspect troublant de quelques éléments dont on ne trouve quasiment pas de traces dans ces mêmes documents (IV).

I. - Les préoccupations américaines des questions relatives aux droits de l’Homme

C’est sans doute l’un des aspects les plus surprenants que l’on découvre au sein de ces documents. Tant et si bien, qu’il n’est pas exagéré de dire que le premier bénéficiaire de cette fuite, ce sont les USA. D’où, d’ailleurs, le fait d’envisager toutes les éventualités concernant l’origine de la fuite.

Sur Nawaat, nous ne nous sommes jamais privés de dénoncer les connivences de l’administration américaine avec les responsables Tunisiens et (Arabes en général) en matière de violation des droits de l’Homme. Or, ces documents montrent que les choses ne sont pas aussi simples et que leur souci quant au respect des droits de l’Homme en Tunisie est réel, tout comme les pressions diplomatiques en ce sens. Si en de nombreux endroits, il est question de conditionner certaines aides au regard des avancés en terme de libéralisation politique, les choses deviennent surprenantes quand on lit qu’il est même envisagé de reconsidérer les aides militaires par rapport à ce critère.

En briefant le secrétaire d'État lors d’une visite en Tunisie, l’ambassade indique:

« Dans nos contacts avec les responsables tunisiens, ils [les Tunisiens] soulignent nos liens solides de plus de 200 ans. Mais ils ne dépassent rarement le cap du général vers le particulier. Votre visite est une occasion d'indiquer clairement qu'il est possible d'aller plus loin. Si la Tunisie est prête à s'ouvrir et à faire davantage sur les questions qui préoccupent les États-Unis, comme par exemple, les défis régionaux et/ou la libéralisation politique, nous sommes prêts à chercher des moyens d'approfondir nos relations. »

« In our contacts with Tunisian officials, they [Tunisians] emphasize our strong ties of over 200 years. But they rarely move from the general to the specific. Your visit is an opportunity to make clear that more is possible. If Tunisia is prepared to open up and do more on issues of concern to the United States, e.g., regional challenges and/or political liberalization, we are prepared to look for ways to deepen our relationship. » (VZCZCXRO1905 sec.18)

Sur un autre document, on découvre qu’il est même question de faire pression au niveau des partenaires européens pour faire avancer les choses sur ce terrain. Dans le document « VZCZCXRO0363, sec.9 » on y apprend :

« Nous recommandons d'être explicite avec les dirigeants du gouvernement tunisien [GT] que nous changeons notre approche, tout en indiquant clairement que nous allons continuer à s'engager en privé avec les partis d'opposition et la société civile. En outre, nous devons accroître nos efforts pour convaincre nos partenaires européens, et d'autres pays aux vues similaires, à intensifier leurs efforts pour persuader le GT d'accélérer la réforme politique. Si certains membres de l'UE (par exemple l’Allemagne, le Royaume-Uni) sont d'accord avec nous, les grands pays comme la France et l'Italie ont hésité à faire pression sur le GT. Nous devons travailler à les amener à le faire, et à faire de ce sujet une condition pour les collaborations futures et pour l’accession au statut-avancées avec l'UE. »

« We recommend being explicit with Government Of Tunisia [GOT] leaders that we are changing our approach, while also making clear that we will continue to engage privately with opposition parties and civil society. In addition, we should increase our efforts to persuade our European partners, and other like-minded countries, to step up their efforts to persuade the GOT to accelerate political reform. While some in the EU (e.g., Germany, the UK) agree with us, key countries such as France and Italy have shied from putting pressure on the GOT. We should work to get them to do so, and to condition further assistance and advanced EU associate status on it. »

II. - L’image de Ben Ali et la perception de la pratique du pouvoir en Tunisie

On ne s’étonnera pas d’apprendre que la considération de la personne de Ben Ali est à la hauteur du caractère despotique de son pouvoir. Certains passages, notamment ceux du doc. VZCZCXRO0363 sont sans appel.

« Trop souvent, le gouvernement tunisien préfère l'illusion de l'engagement au travail sérieux pour une réelle coopération. Le changement majeur en Tunisie devra attendre le départ de Ben Ali, [...] La Tunisie a de gros problèmes. Le Président Ben Ali est vieillissant, son régime est sclérosé et il n'y a pas de successeur évident. De nombreux Tunisiens sont frustrés par le manque de libertés politiques et éprouvent de la colère envers la famille présidentielle, la corruption, le chômage élevé et les inégalités régionales. L'extrémisme fait peser une menace permanente. [...] La Tunisie est un État policier, avec peu de liberté d'expression et d'association, et de graves problèmes de droits humains. [...] Pour chaque pas en avant, il y en a un autre en arrière, par exemple le récent rachat d'importants médias privés par des personnes proches du président Ben Ali.

[Ben Ali] et son régime ont perdu le contact avec le peuple tunisien. Ils ne tolèrent pas de conseils ou de critiques, nationales fussent-elles ou internationales. Ils s'appuient de plus en plus sur le contrôle par la police et se concentre sur la préservation du pouvoir. La corruption dans les premiers cercles s'accentue. Même les Tunisiens moyens sont à présent très conscients de cela, et les voix de leurs plaintes s’amplifient [...]. Les Tunisiens vraiment n’aiment pas, voire éprouve de la haine envers la première dame Leila Trabelsi et sa famille. En privé, les opposants au régime se moquent d'elle. Même dans les cercles proches du pouvoir on y exprime la consternation face à ses frasques. Entre temps, la colère s'intensifie face au taux de chômage qui grimpe et les inégalités régionales. En conséquence, les risques pour la stabilité à long terme du régime sont en augmentation. »

« Too often, the Government Of Tunisia prefers the illusion of engagement to the hard work of real cooperation. Major change in Tunisia will have to wait for Ben Ali's departure, […] Tunisia has big problems. President Ben Ali is aging, his regime is sclerotic and there is no clear successor. Many Tunisians are frustrated by the lack of political freedom and angered by First Family corruption, high unemployment and regional inequities. Extremism poses a continuing threat. […] Tunisia is a police state, with little freedom of expression or association, and serious human rights problems. [...] for every step forward there has been another back, for example the recent takeover of important private media outlets by individuals close to President Ben Ali.

[Ben Ali] and his regime have lost touch with the Tunisian people. They tolerate no advice or criticism, whether domestic or international. Increasingly, they rely on the police for control and focus on preserving power. And, corruption in the inner circle is growing. Even average Tunisians are now keenly aware of it, and the chorus of complaints is rising […]. Tunisians intensely dislike, even hate, First Lady Leila Trabelsi and her family. In private, regime opponents mock her; even those close to the government express dismay at her reported behavior. Meanwhile, anger is growing at Tunisia's high unemployment and regional inequities. As a consequence, the risks to the regime's long-term stability are increasing. » VZCZCXRO0363, sec.1, 6 et 7.

Et ailleurs, on y lit également :

« Il n'y a aucune chance pour que les élections soient libres et régulières. La liberté d'expression et la liberté d'association sont sévèrement limitées. Et on ne permet pas aux partis d'opposition indépendants de fonctionner effectivement. »

« There is no chance the elections will be free or fair; freedom of expression and freedom of association are severely constrained, and independent opposition parties are not allowed to operate effectively. » VZCZCXRO1905, sec.6

Par ailleurs, certains événements semblent avoir eu un impact particulièrement négatif sur l’appréciation du régime tunisien. L’épisode de la nomination d’une « incompétente » à la tête de la Banque de Tunisie (qui est au demeurant l’épouse de Abdelwaheb Abdallah) tout en débarquant le très compétent Faouzi Bel Kahia « un banquier très respecté qui a occupé le poste pendant 16 ans » (« highly respected banker who held the post for 16 years » VZCZCXRO4879) paraît avoir laissé de sérieuses traces. De même, la gestion catastrophique du « problème » fiscal de l’« American Cooperative School of Tunis » fut très préjudiciable aux intérêts nationaux. Les termes que l’on découvre dans le document VZCZCXRO0363 sec. 9, du 17 juillet 2009 sont très significatifs :

« Le plus troublant fut l’effort unilatéral et maladroit du gouvernement tunisien d'imposer de nouvelles taxes rétroactives à l'American cooperative School of Tunis. Il ne fait aucun doute que cette action a été à l'initiative d'amis puissants (y compris sans doute Leila Trabelsi) de l'Ecole Internationale de Carthage. Cela soulève d'importantes questions sur la gouvernance tunisienne et nos amitiés réciproques. Si, en fin de compte, les actions du GT obligent l'école à fermer, nous aurons besoin de réduire les effectifs de la Mission, limiter nos programmes et réduire nos relations. »

« Most troubling has been the [Government of Tunisia’s] unilateral and clumsy effort to impose new and retroactive taxes on the American Cooperative School of Tunis. There is little doubt that this action was at the behest of powerful friends (probably including Leila Trabelsi) of the International School of Carthage. It raises important questions about Tunisian governance and our friendship. If, in the end, the GOT's actions force the school to close we will need to downsize the Mission, limit our programs, and dial down our relations. »

Enfin, la gestion du rapatriement des anciens détenus Tunisiens de Guantanamo semble avoir été désastreuse de la part des Tunisiens. Le manquement à la parole donnée (au niveau des assurances tunisiennes quant au respect des droits fondamentaux des rapatriés) a particulièrement exaspéré les Américains.

III. - Abdelwaheb Abdallah, Kamel Morjane et Sakhr el Matri.

Au niveau des ministres Tunisiens des affaires étrangères, le moins que l’on puisse dire, c’est que Abdelwaheb Abdallah n’a pas été en odeur de sainteté auprès des américains.

«[Abdelwaheb Abdallah] est connu pour ouvrir ses rencontres avec des monologues interminables sur des positions politiques, sociales et économiques, les réussites et les positions modérées de la Tunisie sur les questions régionales. C'est le discours qu’Abdallah lui-même a conçu pendant ses années en tant que conseiller du président, chargé du contrôle des médias nationaux et internationaux. Pendant son mandat de trois ans comme ministre des Affaires étrangères, Abdallah a maintenu une influence notable - si ce n'est un contrôle - sur les médias locaux » [...]« Par exemple, Abdallah me convoqua pour exprimer son «dégoût» de la condamnation de la Tunisie pour son traitement des journalistes, par le président Bush lors du 1er mai, journée mondiale pour la Liberté de la Presse. Mais les difficultés sont aussi le résultat des contrôles imposés par le ministère des Affaires étrangères. Ces contrôles limitent la capacité de l'Ambassade de s'engager avec d'autres organismes, et avec les universités, les organisations professionnelles et syndicales du pays » (VZCZCXRO1905, sec.8)

« [Abdelwaheb Abdallah] has been known to open his meetings with lengthy soliloquies about Tunisia's political, social, and economic successes and moderate positions on regional issues. This is the spin that Abdallah himself crafted during his years as Presidential Advisor responsible for domestic media control and international media spin. During his three-year tenure as Foreign Minister, Abdallah has maintained significant influence -- if not control -- over the local media” […] “For example, Abdallah convoked me to express his "disgust" that Tunisia was condemned for its treatment of journalists in President Bush's May 1 statement on World Press Freedom. But the difficulties are also the result of the controls imposed by the Ministry of Foreign Affairs. These controls limit the Embassy's ability to engage with other agencies, and with universities, business organizations and even the country's labor union” (VZCZCXRO1905, sec.8).

Ailleurs, on y apprend :

« Nous avons été bloqués, en partie, par le ministère des Affaires étrangères qui vise à contrôler l'ensemble de nos contacts avec le gouvernement et de nombreuses autres organisations. »

«We have been blocked, in part, by a Foreign Ministry that seeks to control all our contacts in the government and many other organizations.”(VZCZCXRO0363, sec.2).»

En revanche, s’agissant de l’actuel ministre des Affaires étrangères Kamel Morjane, celui-ci semble jouir d’une relative estime de la part de la diplomatie américaine. Il est du reste dépeint comme celui qui a cherché à limiter les dégâts de son prédécesseur.

On notera également de longs passages concernant Sakhr El Matri, lesquels, entre autres révèlent cette promiscuité si malsaine entre les affaires et la politique. On retiendra cette anecdote, très révélatrice, qui a eu lieu à l’ambassade US où l’en passe du politique aux affaires d’El Matri sans la moindre pudeur. Celui qui aspire à obtenir une franchise McDonald en Tunisie se voit rétorquer par l’ambassadeur US que ceci nécessite des autorisations légales (de la part de l’administration tunisienne). Réponse d’El Matri : « ceci n’est pas un problème ». Et pour cause !

Voici le passage en question :

« El-Matri a aussi exprimé son intérêt pour l'ouverture d'une franchise de restaurant McDonalds. Lorsque l'ambassadeur a déclaré que les entreprises américaines avaient besoin d'une législation sur les franchises avant d'investir, il a répondu: "cela n'est pas un problème", et a suggéré que la première franchise pourrait s’ouvrir dans le port pour bateaux de croisières qu’il développe à La Goulette. »

« El-Matri also expressed interest in opening a McDonalds restaurant franchise. When the Ambassador said US companies needed a franchise law before investing, he responded, "that would not be a problem," and suggested a likely first option would be to open a franchise in the new cruise port he is developing in La Goulette. » (VZCZCXYZ0008, sec.3).

Au demeurant, le contenu de ce document donnera de la matière à gloser à nos deux experts nationaux en « science des agendas » ; en l’occurrence Borhène Bsaïs et Boubaker Sghaïr. Sûrement, ils ne manqueront pas de reprendre les longs passages concernant Sakhr El Matri pour nous parler de son agenda lorsqu’il franchit le pas de l’ambassade US. Nos deux « messieurs agenda », aux compétences reconnues en la matière, nous ont habitués à ne louper aucune occasion pour discourir sur leur thème favori « ambassade et agenda ».

IV.- Les Silences troublants

Parmi les éléments les plus troublants, du moins concernant les documents que nous avons examinés, c’est cette absence flagrante des forces démocratiques tunisiennes au niveau des échanges entre l’ambassade US et le département d’Etat. L’opposition démocratique est mentionnée à deux ou trois reprises, mais c’est presque d’une manière collatérale, voire accidentelle. Et ce qui est d’autant plus troublant, c’est que malgré le fait que la diplomatie américaine n’attend que le départ de Ben Ali pour observer un réel changement « Tout changement majeur en Tunisie devra attendre le départ de Ben Ali » (« Major change in Tunisia will have to wait for Ben Ali's departure »), l’opposition démocratique dans ce contexte n’incarne ni une alternative sérieuse ni même une force politique avec laquelle il serait utile d’avoir des rapports étroits.

Il faut dire que cela confirme ce que nous avons par le passé écrit sur Nawaat, et qui incarne à nos yeux un réel problème tunisien. « Que cette opposition devienne tellement insignifiante, tellement inexistante au regard des gouvernements alliés de la Tunisie [avons-nous eu l’occasion d’écrire] est difficile à avaler. […] On ne devient pas une opposition qui incarne le changement démocratique en le proclamant, mais par la capacité, d’une part, à convaincre et à entraîner l’opinion publique en ce sens et, d’autre part, à gagner par ce biais la crédibilité des partenaires de la Tunisie quant au changement que l’on promet. »

Juxtaposer cette non-considération des forces démocratiques tunisiennes avec les considérations réelles au niveau des questions des droits de l’homme en Tunisie par une nation étrangère, laquelle se met en position de protéger les Tunisiens sur leur propre territoire, a de quoi empêcher de dormir beaucoup de Tunisiens. Quand on songe à la défaillance indigne du gouvernement tunisien à s’enquérir du respect des garanties et droits fondamentaux des Tunisiens détenus à Guantanamo, C’est déjà très grave. Mais qu’ensuite les anciens geôliers de ces Tunisiens se retrouvent eux-mêmes dans la peau de ceux qui se démènent pour garantir leurs droits fondamentaux et leur intégrité physique en Tunisie ; cela frôle l’insupportable pour quiconque accorde un minimum d’honneur à la citoyenneté tunisienne et des droits qui s'y rattachent ! Et c’est face à de tels faits que l’on se demande comment des ministres, des parlementaires, des magistrats et des hommes politiques tunisiens peuvent se regarder dans la glace le matin. Que l'on soit très clair, que les Américains se démènent pour garantir la sécurité de ceux qui on subit les affres de Guantanamo, c'est la moindre des choses pour restaurer leur honneur. En revanche, pour nous Tunisiens, faisons-nous assez pour justement réhabiliter cet honneur qui devrait être celui de nos institutions républicaines dont la finalité ULTIME, faut-il le rappeler, est de garantir les droits fondamentaux du citoyen ?

Au fond, les magouilles affairistes et politiques d'El Matri, A. Abdallah ou des Trabelsi sont tellement secondaires, sinon une conséquence logique de l'altération de ce qui est autrement plus fondamental : la place et le statut de la citoyenneté tunisienne au sein des institutions de la République. Aurions-nous su les défendre bec et ongle, ces institutions, depuis 1987, l'opposition démocratique en tête et nous n'en serions sûrement pas là aujourd'hui.

Enfin à chacun de lire, de se faire une idée et donner du sens aux faits mentionnés. Le débat est ouvert. Ce qui est certain en tout cas, c’est que la transparence aura toujours du bon.

Nous reviendrons sur ces documents, y compris sur d'autres dès que nous en disposerons. Nous les mettrons en forme, les classerons en catégorie et les taguons pour en faciliter la l'accès ... d'ici là, bonne lecture.

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Ben Ali, Inc. Takes over a bank November 29th, 2010